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    Samedi 13 octobre 2007

    Chers amis,

    Je vous incite vivement, vous qui êtes attachés à l'indépendance des Médias, à la Liberté, à la Démocratie, à signer cette pétition. C'est le visage de la France d'aujourd'hui et de demain que vous dessinez par cet acte. A vos clics !  Je vous embrasse, vôtre Eva

    J'ai trouvé à l'instant cette pétition sur http://sego-dom.over-blog.com

    Pétition pour une presse libre

    lapresse.jpg
    Intersyndicale des Journalistes

    Proposition pour une presse libre

    Signez la pétition
    et faites circuler l’adresse du
    site.

      Les syndicats avancent les propositions de modification législatives suivantes : CHAQUE TITRE (écrit, audiovisuel, multimédia) devra disposer d’une équipe rédactionnelle permanente et autonome composée de journalistes professionnels au sens de l’article L 761-2 du Code du travail (dans sa version actuelle).Le recours à des journalistes non permanents (CDD ou pigistes) ne sera autorisé que dans le cas de remplacements prévus par la législation en vigueur ou pour renforcer la qualité d’expertise de la rédaction dans un domaine particulier. LA LOI FERA OBLIGATION à l’éditeur de remettre chaque année aux institutions représentatives du personnel, en même temps que ses comptes annuels, la composition de cette équipe rédactionnelle en y faisant apparaître le nombre de journalistes précaires et de correspondants locaux de presse. En cas de non-respect de tout ou partie de ces dispositions, les diverses aides publiques dont bénéficie l’entreprise de presse fautive seront suspendues. QUELLE QUE SOIT la forme juridique du titre, quelle que soit la forme juridique de l’équipe rédactionnelle, cette dernière sera obligatoirement consultée par la direction sur tout changement de politique éditoriale ou rédactionnelle. CETTE ÉQUIPE RÉDACTIONNELLE sera également obligatoirement consultée par l’employeur avant et lors de la nomination du responsable de la rédaction, quel que soit l’intitulé de sa fonction (directeur de l’information, directeur de la rédaction, rédacteur en chef…). Celui-ci devra présenter son projet éditorial à l’équipe rédactionnelle, qui pourra s’opposer à sa nomination ou à son projet. PAR LA SUITE, si la gravité de la situation l’exige, l’équipe rédactionnelle pourra prendre l’initiative d’un scrutin de défiance. La rédaction aura la faculté de saisir le comité d’entreprise. Celui-ci pourra agir dans le cadre d’un droit d’alerte aménagé et spécifique. Là encore, en cas de non-respect de tout ou partie de ces dispositions, les diverses aides publiques dont bénéficie l’entreprise de presse fautive seront suspendues jusqu’à ce que cesse ce manquement. Cette sanction sera publiée et diffusée par l’entreprise de presse.
    En outre, sans prétendre apporter aujourd’hui de réponse au débat relatif au statut des entreprises de presse, nous rappelons qu’à tout le moins ces entreprises ont, du fait de leur activité, une responsabilité sociale particulière.
    independance.jpg
    Il découle de celle-ci que ces entreprises doivent être soumises à des obligations accrues de transparence :
    ELLES DEVRONT PUBLIER et diffuser chaque année toutes les informations relatives à la composition de leur capital et de leurs organes dirigeants, l’identité et la part d’actions de chacun des actionnaires, personnes physiques ou morales. Elles devront porter ces informations à la connaissance du public. CETTE OBLIGATION DE PUBLICATION et de diffusion devra également s’appliquer dès qu’un changement est intervenu dans le statut, l’organigramme ou la composition du capital de la société éditrice et/ou propriétaire. LES NOMS DES PRINCIPAUX DIRIGEANTS et des principaux actionnaires (plus de 15 % du capital) devront également être mentionnés dans chaque numéro de la publication concernée.

    ------------------------------
    Je vous joins en complément cet article sur la complaisance des Médias envers Sarkozy : http://www.acrimed.org . D'actualité !

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    Rugby : La Coupe est pleine (avec une vidéo)
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    Peu nous importe ici que l’on aime ou que l’on déteste le rugby : ce n’est pas notre affaire. Nous ne nous livrerons ni à l’adulation des foules de supporters (plus ou moins occasionnels…), façon TF1, ni au mépris hautain qu’elles inspirent à de prétendues « élites », façon Charlie hebdo. En revanche, la critique des médias et celles du sport mercantilisé, de son instrumentalisation politique et de ses débordements chauvins sont indissociables : la plupart des médias vivent de la marchandisation du sport, cautionnent les mises en scène politiques dont les compétitions sont le prétexte et soutiennent sans retenue les constructions spectaculaires d’une « identité française » forgée dans des simulacres de guerre.

    Avec la Coupe du Monde de rugby, nous avons été amplement servis. Il suffit de mentionner quelques symptômes (et de consulter une vidéo).


    Des éditorialistes en crampons

    A la veille de tous les matches de l’équipe de France, la quasi totalité des médias sont devenus sportifs. Et pas seulement L’Equipe et la presse populaire. La plupart des éditorialistes de la presse écrite, spécialistes de tout, se sont dotés d’une compétence supplémentaire : le rugby. Des principaux quotidiens de la presse régionale à Libération, ce fut un déluge d’emphase pontifiante et de considérations édifiantes sur les enjeux sportifs, économiques et moraux des matches livrés par les Français.

    Deux exemples, parmi des dizaines d’autres :

    - Le matin du match opposant l’équipe de France à celle de Nouvelle-Zélande (6 octobre 2007), Francis Rousselot, pour Libération, s’extasie : « (...) Les Blacks donc - pardon les Neo-Zélandais, comme dit Bernard Laporte -, c’est pour tout de suite maintenant. On ne peut rien y faire et c’est comme ça. Mais la bonne nouvelle, c’est que la ferveur est toujours là. La douche argentine a donné la gueule de bois mais n’a pas gâché la fête. La Coupe du monde est un succès, Nike a vendu 500 000 maillots bleus en moins de quatre semaines et 30 0000 Français seront à Cardiff pour entretenir le rêve . »

    - Après la victoire « historique » (forcément…), le 8 octobre, Hervé Cannet, dans La Nouvelle République du Centre-Ouest, se prend à rêver plus encore : « Grâce à la rébellion de Cardiff, c’est aujourd’hui le rugby qui devient le porteur de cet espoir d’un 14 juillet en plein automne . "Allez les petits" : le vieux cri de Roger Couderc redevient une réalité. Tout un peuple va pousser en mêlée. Samedi, au stade de France, par exemple. Ou au-delà. Car les doutes ne sont plus guère de mise : "On ira tous au paradis" chantent les supporters. Ce " On " ne concerne pas seulement les quinze acteurs sur le terrain. Au moment où les mots faillite, rigueur, chômage viennent assombrir l’ambiance, vibrer pour les exploits tricolores sert à merveille d’exutoire. Les tombeurs des Blacks évitent de trop broyer du noir. Le pouvoir n’en tirera peut-être pas des sondages plus favorables mais l’impact économique sera, lui, loin d’être dérisoire. La relance grâce aux Bleus ? Relance, mais voilà bien un terme emprunté au rugby. » Et après la défaite devant l’équipe d’Angleterre ?

    Exception à la règle, Francis Brochet, dans Le Progrès du 6 octobre douchait - avant le match…, - l’enthousiasme médiatique pour les prouesses médiatiques : « Grande braderie sur la Coupe du monde de rugby. Elle n’est pas finie qu’on solde déjà polos et tee-shirts, tandis que les villes hôtes font leurs (mauvais) comptes... La promesse était pourtant mirifique. Question de valeurs, nous disait-on : face au vilain foot, le rugby allait vendre sa pureté, son collectif et son respect de l’adversaire... Raté. On a eu la Chabalmania, sorte de Star’Ac de l’ovale. Puis le slogan chauvin d’un parrain ("Aux armes citoyens"). Et toujours le boniment ridicule des VRP de la télé, vraie gagnante de la Coupe avec ses audiences-record. Et le rugby ? Un ramasse-pub, un spectacle hors-sport, comme il existe des cultures hors-sol. Demain, TF1 nous vendra tout pareil du base-ball ou du roller-ball, avec le même "Kit du supporteur"... Allez, rendez-vous ce soir devant le poste, sans le son. Et demain au stade. »

    Sarkozy demi d’ouverture ?

    Relais à ce point complaisant des opérations de communication de Sarkozy qu’on se demande parfois si elles n’ont pas remplacé ses chargés de communication, nombre des chefferies éditoriales n’ont reculé devant aucun reportage ou mise en images de la présence du chef de l’Etat dans son rôle de premier supporter. A un point jamais égalé, à l’occasion de compétitions sportives, avec les Présidents de la République précédents.

    Un seul exemple. Le Journal du Dimanche (JDD) du 7 septembre consacre, outre la « Une », 4 pages à « l’exploit ». Près de deux pages sont dédiées aux performances de Nicolas Sarkozy et de ses amis.

    Premier article (deux tiers de la page 4) : « Par la très grande porte », sur-titré : « Bernard Laporte. L’exploit du XV de France prépare idéalement son avenir politique ». Illustration ? Une photo d’une accolade entre Nicolas et Bernard avec cette légende : « Bernard Laporte félicité pas Nicolas Sarkozy dès la fin du match sur le terrain du Millenium ».

    Deuxième article (plus de la moitié de la page 5), un titre en forme de citation « Que du bonheur ! » Le surtitre informe sur l’auteur de cette exclamation : « Supporter. Nicolas Sarkozy était avec les Bleus jusque dans les vestiaires » . Et pour illustrer cette folle audace, une photo de Nicolas Sarkozy aux côtés de deux rugbymen torse nu, avec cette légende : « Nicolas Sarkozy refait le match avec Cédric Heymans et David Marty ». Enfin, en guise d’illustration (toujours page 5) d’un article intitulé « Nuit de fête dans toute la France », une photo de Rachida Dati devant Nicolas et Bernard, légendée : « Fou rire d’après la victoire pour Rachida Dati, Nicolas Sarkozy, Christophe Dominici et Bernard Laporte ». Et après la défaite devant l’équipe d’Angleterre ?

    Le rugby en première ligne des JT

    Dans les JT, la compétition a régulièrement relégué le « reste » de l’information en fin d’édition. Ainsi, le jour du match France - Nouvelle-Zélande, le journal de 13h de France 2 annonce la couleur : « Alors, première information de la matinée, c’est la fin du suspens pour le feuilleton des maillots. Les All Blacks joueront finalement en gris et noir, et les Français en bleu et blanc. Mais là n’est pas l’essentiel … » Là n’est pas l’essentiel en effet, puisque sept des quinze minutes dédiées à l’information sont consacrées au match du soir. Le lendemain de la glorieuse victoire, l’émotion gagne la rédaction de France 2 qui consacre près de quinze minutes de son journal au match et à ses à-côtés. Ensuite, les quelques minutes restantes sont consacrées au Typhon en Asie et à la nuit blanche parisienne… Le soir, toujours la tête dans les étoiles, le journal consacre dix-huit minutes et trente secondes au match de la veille… pour ceux qui avaient raté le match.

    Ce même 7 octobre, TF1 consacre près de 18 minutes de son journal de 13h à l’événement. Car comme le dit Claire Chazal : «  La principale actualité de ce dimanche, c’est bien sûr la victoire des rugbymen français qui ont réalisé un exploit hier soir en battant la Nouvelle-Zélande […] après un match acharné ». Claire Chazal trouve tout « évident » et naturel, à commencer par les choix éditoriaux de la chaîne [1].

    Le pack des responsables de la rédaction de France 2 reste moins performant que celui de TF1. Mais le 8 octobre, David Pujadas (20h, France 2) consacre près de 9 minutes de son journal télévisé (sur 33 minutes) au rugby. Après avoir annoncé les titres, il prévient « D’abord donc le rugby... encore le rugby ? Oui, encore le rugby car depuis samedi soir , la fièvre est semble-t-il en train de gagner la France ... Les vainqueurs des All Blacks sont revenus tout à l’heure du Pays de Galles... et cette arrivée a tourné à la cohue... Des salariés avaient pris leur pause... Des supporters avertis au dernier moment avaient fait le déplacement... » [2]

    Un JT « historique » !

    Dans les journaux télévisés de TF1 , l’ « événement » – La Coupe du Monde – , débité en autant de petits « événements » – chaque match de l’équipe de France – atteint nécessairement une dimension « historique » puisque… TF1 a acquis (pour 80 millions d’euros…) l’exclusivité des droits de retransmission. La chaîne du groupe Bouygues informe ainsi sur elle-même en informant sur les événements et met l’information au service de la promotion de ses programmes et de la marque TF1. On pourrait même imaginer un JT de TF1 qui serait intégralement consacré aux autres émissions diffusées par TF1 et une hiérarchie des titres du JT établie en fonction des scores d’audience obtenus par chacune d’elle.

    Le comble a été atteint le 13 octobre lors du JT précédent la retransmission du match opposant l’équipe de France et l’équipe d’Angleterre. Un JT de 30 mn, dont 27 mn sur la Coupe du Monde de Rugby (et un résumé de la victoire de l’équipe de France de foot). A 27’03 : « le reste de l’actualité tout de même » (Claire Chazal) avec l’annonce des trois titres qui sont « développés » en 3 mn.

    Malgré la défaite de l’équipe de France, TF1 ne désarme pas. Au JT de 13h le lendemain de la défaite nationale, 13’40" sur la « déception » (et la joie des Anglais, quand même…) sur 18’40’’ d’« informations ». Et à 20h, 15’ sur 30.

    Sur France 2, à 13 h, sur 15’ consacrées aux informations proprement dites (avant « votre magazine »), 9’20’’ ont été consacrées au rugby (et très secondairement au foot). Au JT de 20h, 15’20’’ sur les mêmes sujets avant « le reste de l’actualité » pour une durée totale de 38’. Sobriété du service public !

    Comme l’écrit tristement France soir au lendemain de la défaite : « Alors que la vague Coupe du Monde commençait à bien déferler sur tout le pays, c’est un dur retour à la froide réalité pour tous les passionnés de l’ovalie. » [3]

    « Le Rugby, quand on l’aime, on ne compte pas. ». On peut aimer ou ne pas détester le rugby, et cependant savoir compter ce qui reste au « reste de l’actualité »…


    Avec des documents et transcriptions de Nadine Floury, Jamel Lakhal et Denis Perais. As de la vidéo : Ricar.



    _________________________________________________

    [1] Extraits de ces « évidences », le 7 octobre à 13 heures : « La principale actualité de ce dimanche , c’est bien sûr la victoire des rugbymen français […] Nous reviendrons évidemment sur les meilleurs moments du match, sur l’ambiance à Cardiff, les réactions des joueurs. Et nous parlerons aussi du futur adversaire de la France, ce sera l’Angleterre. Et toute la presse naturellement salue ce matin cet exploit des Bleus […] Hier soir sur la pelouse du Millenium Stadium il fallait savourer et apprécier. Un quart d’heure pendant lequel les hommes de Bernard Laporte ont mesuré leur bonheur. Hier soir les joueurs de l’équipe de France étaient heureux, ils n’étaient pas les seuls. Evidemment ils n’étaient pas les seuls car un peu partout en France des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue pour fêter l’exploit des rugbymen français. La fête a duré toute la nuit. Toute la France était en bleu hier soir […]. »

    [2] Sur France 2, lors du JT de 13h du 9 octobre, Elise Lucet, après avoir présenté le sommaire, enchaîne : « Mais on vous donne d’abord des nouvelles des Bleus. L’équipe de France de rugby a pris ses nouveaux quartiers à Paris et les joueurs ont retrouvé Marcoussis ce matin. Au programme : entraînement intensif avant le match de samedi contre l’Angleterre... Alors que tout le monde attend avec impatience la composition de l’équipe demain. »

    [3] France soir du lundi 15 octobre 2007. Titres et extraits. A la « Une » : « La gueule de bois ». Commentaires : « L’échec est amer ». « En s’inclinant face aux Anglais, les Bleus ont déçu l’espoir qu’ils avaient fait naître dans le pays. » Des traîtres ? Autre titre : « La triste fin d’une époque » (sic). Commentaires : « Le rêve est brisé à jamais, l’élan coupé sous le pied. La France ne gagnera pas “ sa ” coupe du monde, la sixième de son histoire, organisée pourtant à domicile et servie sur un plateau. Il y a des défaites amères qu’on aimerait bien effacer. Celle-là, écoeurante, restera gravée à vie pour les raisons que l’on sait […] » Autre titre : « Une sacrée gueule de bois ». Commentaires : «  Echouant au pied de la finale, la France, hier, était encore groggy, toute sonnée par l’immense poids de la défaite, oscillant entre écoeurement et fatalisme. […] Le XV de France pleure sur son rêve qui passe. En l’espace d’une soirée, les héros de Cardiff sont redevenus de simples hommes. Ordinaires et impuissants. »

     

     


    votre commentaire
  •  
     
    Samedi 13 octobre 2007

     

    Bonjour,

    Sur le point de me coucher, je reçois de nouvelles dépêches dans ma boîte de réception; j'écarte les informations concernant les déboires du couple Sarkozy-Cécilia, qui sont maintenant sur la place publique, mon rôle ne sera jamais de faire la commère. Par contre, ce qui m'intéresse, c'est ce qui peut avoir directement des conséquences sur les orientations d'une politique, en l'occurrence, actuellement pro-Américaine et pro-Israélienne, risquant de nous conduire directement vers un conflit pouvant dégénérer en guerre mondiale nucléaire. Je choisis donc d'apporter au débat cette information, extraite semble-t-il du Journal le Figaro, et envoyée par un de mes fidèles correspondants, asiatique en l'occurrence. Elle est d'importance, car ce serait alors un nouveau visage de la France qui se dessinerait, décisif notamment en matière d'indépendance, ou non, de la politique étrangère. En matière d'indépendance, tout simplement !

    Objet: Les étranges accusations d’un cybercorbeau :etonné ?

     

    La PJ enquête sur un courriel envoyé durant la présidentielle à
    cent hauts responsables de la police. Il affirmait que Sarkozy, comme
    Balkany, Lellouche, Devedjian et Aeschlimann, étaient liés au Mossad.
    
    UNE OFFICINE a-t-elle voulu déstabiliser Nicolas Sarkozy durant la
    campagne présidentielle ? Une enquête confiée à la Direction
    centrale de la police judiciaire doit l’établir. Fin mars 2007, dans la
    dernière droite de l’élection, tous les directeurs départementaux
    de la sécurité publique, soit une centaine de hauts fonctionnaires, ont
    été destinataires d’un étrange courriel. Le futur président y
    était taxé, ni plus ni moins, d’avoir été recruté dans les
    années 1980 par le Mossad, le service secret israélien.
    
    Le texte envoyé se présente sous la forme d’une « note de
    synthèse » de deux pages. Son titre : « L’infiltration du Mossad
    israélien dans l’UMP. Nicolas Sarkozy : le quatrième homme. »
    Au-dessus, un pseudo-logo de la « DGSE ». « Tout cela respire la
    manip à plein nez, avec des relents d’extrême droite », prévient
    un cadre dirigeant au ministère de l’Intérieur.
    
    Selon l’auteur du message, en 1978, le gouvernement de Menahem Begin
    aurait commandité l’infiltration du parti gaulliste pour en faire une
    sorte de partenaire d’Israël. L’opération aurait été montée
    par Rafael Eytan, maître-espion israélien. « Trois citoyens
    français prédisposés à collaborer » auraient donc été
    ciblés : Patrick Balkany, Patrick Devedjian et Pierre Lellouche.
     Balkany
    est présenté comme le chef du « réseau ».
    
    En 1983, Patrick Balkany aurait recruté le « jeune et prometteur »
    Sarkozy, le « quatrième homme du Mossad ». Une cinquième recrue
    serait venue compléter le dispositif dans les années 1990 : Manuel
    Aeschlimann, député-maire d’Asnières (Hauts-de-Seine). Le
    cybercorbeau affirme que ce proche de Sarkozy est « chargé
    d’établir des contacts avec des responsables iraniens en France ».
    Une assertion d’autant plus perfide que sa ville d’Asnières accueille
    effectivement une forte communauté iranienne.
    
    Aucune empreinte
    
    Embarrassé, l’état-major policier d’alors a dû rapporter en haut
    lieu le contenu de ce courriel farfelu et la qualité de ses
    destinataires. Aussitôt, une enquête a été diligentée, confiée
    à la PJ. Les policiers ont découvert que le message est parti d’un
    cybercafé du Val-d’Oise.
    
    Mais le corbeau a bien choisi le lieu de ses persiflages : dans ce
     commerce
    où l’anonymat est la règle, puisque la loi n’impose pas de
    présenter ses papiers pour accéder aux ordinateurs, il n’y avait pas
    de vidéosurveillance. Aucune empreinte, aucune trace d’ADN n’a pu
    être exploitée. L’expertise des machines n’a rien donné. Pas plus
    que l’analyse sémantique du texte.
    
    Et l’enquête se poursuit à la demande du parquet. Au risque de donner
    à cette affaire une importance qu’elle ne méritait pas.
    
    Source : Le Figaro
    
    <http://www.lefigaro.fr/france/20071012.FIG000000291_les_etranges_accusation
    s_d_un_cybercorbeau.html
    

     

    Je regarde une dernière fois ma boîte mail, et voici ce qui vient d'arriver, je vous le soumets :

     

    Objet: L’affreuse vérité

     

     

    <http://usa-menace.over-blog.com/>
    
    Tout le monde sait à quoi s'en tenir sur l'attaque de l'USS Liberty
     comme
    pour d'autres attentats attribués à des entités innocentes mais
    toujours commis par les mêmes assassins. Les idiots qui dirigent le
     monde
    n'auraient jamais dû laisser s'installer le sionisme au Proche-Orient.
    Jamais. Ils ignoraient ce qui se cachait derrière et ils l'ignorent
    encore... ce qui est bien pire.
    
    
    Nouvelles révélations sur l’attaque de l’USS Liberty
    
    Qui donc a peur du lobby israélien ?
    
    
    
    par Ray McGovern
    
    
    
    Qui donc a peur du lobby israélien ? Presque tout le monde : les
    Républicains, les Démocrates et les Libéraux. On peut dire que
    l’indice de la peur n’est pas une question de parti et cette peur est
    palpable.
    
    L’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) [1] se vante
    d’être l’organisation de lobbying de Capitol Hill [2] la plus
    influente en matière d’affaires étrangères et l’a démontré
    encore et toujours et pas seulement à Capitol Hill.
    
    Le pouvoir de ce lobby a rarement été démontré aussi clairement que
    dans sa capacité de supprimer l’horrible vérité du 8 juin 1967,
    pendant la Guerre des Six Jours :
    
    >>>> Israël a délibérément attaqué le navire de collecte de
    renseignements, l’USS Liberty, en sachant parfaitement qu’il
    s’agissait d’un navire américain, et ils ont fait de leur mieux pour
    le couler et ne laisser aucun survivant :
    >>>> Les Israéliens auraient réussi s’ils n’avaient interrompu leur
    attaque à la suite de l’interception d’un message leur apprenant que
    le commandant de la 6ème Flotte américaine avait lancé des avions de
    chasse vers cette scène ; et
    >>>> Jusque-là, 34 membres de l’équipage du Liberty avaient été
    tués et plus de 170 avaient été blessés.
    
    Quantité d’analystes et de hauts responsables des services de
    renseignement le savent depuis des années. Que presque tous aient gardé
    un silence effrayant pendant 40 ans témoigne de la peur généralisée
    de toucher à ce sujet brûlant ! Encore plus éloquent est le fait que
    la NSA (National Security Agency) [3] ait détruit les enregistrements
    vocaux et leurs transcriptions entendus et vues par un grand nombre
    d’analystes des renseignements - des documents qui montrent sans aucun
    doute possible que les Israéliens savaient ce qu’ils faisaient.
    
    L’affreuse vérité
    
    Mais la vérité allait finir par sortir. Tout ce qu’il fallait, dans
    cette affaire, était qu’un journaliste courageux (du type espèce en
    danger) écoute les survivants de l’équipage et fasse un peu de
    recherche basique, ne se dérobant pas à dire qu’il s’agit de crimes
    de guerre et ne laissant pas aux responsables américains, du président
    à ses subalternes, la possibilité de supprimer - voire de détruire -
    les preuves accablantes provenant des communications israéliennes
    interceptées.
    
    A présent, la grande presse a publié un exposé qui se base en grande
    partie sur les interviews de ceux qui ont été le plus intimement
    impliqués. Un article fleuve du journaliste d’investigation et Prix
    Pulitzer, John Crewdson, a paru le 2 octobre dans le Chicago Tribune et
     le
    Baltimore Sun, sous le titre "Nouvelles révélations dans l’attaque du
    Navire espion américain". Le sous-titre remporte le prix de la litote
     de
    l’année : "Anciens combattants, des documents suggèrent que les
    Etats-Unis et Israël n’aient pas dit toute la vérité sur
    l’incident mortel de 1967".
    
    Mieux vaut 40 ans plus tard que jamais, je suppose. Un grand nombre
    d’entre nous étaient au courant de cet incident et l’ont couvert
    pendant très longtemps. Puis, ils ont essayé de l’exposer et d’en
    discuter pour les leçons qu’il contient pour aujourd’hui. Pourtant,
    il s’avère plus facile d’obtenir la publication d’un article
    lorsqu’un chien méchant mord une personne qu’un article explosif et
    de l’importance de cette histoire sensible.
    
    Un Marine se lève
    
    Dans la soirée du 26 septembre 2006, je m’exprimais devant une foule
    débordante de 400 personnes à la National Avenue Church, à
    Springfield, dans le Missouri. Une personne m’a demandé ce que je
    pensais de l’étude réalisée par John Mearsheimer de
    l’Université de Chicago et de Stephen Walt d’Harvard, intitulée "Le
    Lobby Israélien et la Politique Etrangère des Etats-Unis". A
    l’origine, cette étude avait été commandée par l’Altlantic
    Monthly. Cependant, lorsque l’ébauche est arrivée au magazine,
    c’est aux cris de "paria" qu’elle a été accueillie. L’Atlantic
    n’a pas mis longtemps pour dire "merci, mais on n’en veut pas" et cette
    étude "lépreuse" a erré à la recherche d’un éditeur, n’en
    trouvant aucun auprès des américains. Finalement, c’est la London
    Review of Books qui l’a publiée en mars 2006.
    
    J’ai lu cet article avec la plus grande attention et j’ai trouvé
    qu’il était très bien documenté et qu’il relevait d’un courage
    inhabituel. Voilà ce que j’ai répondu à mon interlocuteur, ajoutant
    que cette étude me posait deux problèmes :
    
    >>>> D’abord, je crois que les auteurs ont commis une erreur en
    attribuant la quasi-totalitéé des motivations de l’attaque
    américaine contre l’Irak au Lobby d’Israël et à ceux que l’on
    nomme les "néoconservateurs", qui dirigent notre politique et nos
     forces
    armées. Israël a-t-il été un facteur important ? Assurément.
    Mais, de mon point de vue, il y a un facteur d’égale importance : le
    facteur pétrolier et ce que le Pentagone appelle désormais des "bases
    militaires durables" en Irak, déterminées par la Maison-Blanche et le
    Pentagone, comme nécessaires pour que les Etats-Unis dominent cette
    partie du Moyen-Orient.
    
    
    >>>> Deuxièmement, j’ai été intrigué que Mearsheimer et Walt
    n’aient jamais fait mention de la preuve, peut-être pas la plus
    parlante, mais à mes yeux la plus spectaculaire du pouvoir que le lobby
    israélien peut exercer en connaissance de cause sur notre gouvernement
     et
    notre Congrès. Bref, en juin 1967, après avoir délibérément
    attaqué l’USS Liberty, pendant deux heures, avec des bombardiers et des
    torpilleurs, dans l’intention de le couler et d’éliminer tout son
    équipage, et après avoir ensuite obtenu du gouvernement américain, de
    la Navy et du Congrès qu’ils étouffent l’affaire, le gouvernement
    israélien a appris qu’il pouvait, littéralement, commettre des
    meurtres en toute impunité.
    
    Je me suis retrouvé face à 400 regards hébétés. L’USS Liberty ?
    Alors, j’ai demandé à l’assistance combien de personnes avaient
    entendu parlé de l’attaque contre le Liberty, le 8 juin 1967. Trois
    mains se sont levées ; j’ai interrogé celui qui se trouvait le près
    de moi.
    
    Il s’est dressé, raide comme un piquet : "Sergent Bryce Lockwood, Corps
    des Marines des Etats-Unis, à la retraite, Monsieur. Je suis membre de
    l’équipage de l’USS Liberty, Monsieur".
    
    Retenant mon souffle, je lui ai demandé s’il voulait bien nous raconter
    ce qui s’était passé.
    
    "Je n’ai jamais pu en parler, Monsieur. C’est difficile. Mais cela fait
    presque 40 ans et je voudrais essayer de le faire ce soir, Monsieur".
    Lockwood nous a rendu compte en personne de ce qui lui était arrivé -
    à lui, à ses collègues et à son navire - dans l’après-midi du 8
    juin 1967. Pendant le quart d’heure qui a suivi on aurait pu entendre
     une
    mouche voler. Lockwood était un linguiste, affecté à la collecte des
    communications à partir de l’USS Liberty, un des navires les plus
    affreux et le plus facilement identifiable de la flotte, avec des
     antennes
    dans toutes les directions.
    
    Le sergent raconta les évènements de ce jour fatidique, en commençant
    par la surveillance aérienne et navale du Liberty par les forces
    israéliennes, le matin du 8 juin. Après les attaques aériennes -
    bombes de 500 kilos et napalm - trois torpilleurs de 60 tonnes se sont
    alignés comme une escadrille prête à faire feu, pointant leurs tubes
    à torpilles sur le tribord du Liberty. Lockwood avait reçu l’ordre de
    jeter par-dessus bord l’équipement cryptologique hautement sensible et
    il venait juste de passer le bastingage séparant l’unité de la NSA du
    reste du bateau. Soudain, se remémore-t-il, il a eu l’impression de
    voir un gros objet noir et a ressenti une colossale explosion et il y
     avait
    un rideau de flammes. La torpille avait frappé en plein milieu de
    l’espace réservé à la NSA.
    
    L’eau froide et grasse a fait reprendre ses esprits à Lockwood. Autour
    de lui, 25 de ses collègues étaient morts. Mais, il a entendu des
    gémissements : trois d’entre eux étaient encore en vie. Un de ses
    camarades a tiré l’un des survivants par l’écoutille et Lockwood a
    réussi à porter, en deux fois, les deux autres sur ses épaules et les
    transporter à travers l’écoutille. Cela voulait dire frapper à
    l’écoutille pour qu’on lui ouvre et retourner repêcher de l’eau
    son camarade, de peur qu’il ne dérive vers la mer par le trou de 12
    mètres qu’avait fait la torpille.
    
    A ce moment, Lockwood s’est arrêté de parler. Cela en était assez.
    Difficile, très difficile, même après 40 ans.
    
    Que savons-nous d’autre ?
    
    L’article méticuleusement documenté de John Crewdson, de même que
    les 57 pages que James Bamford à dédiées à cet incident dans son
    livre "Body of Secrets" et les récentes confessions de ceux qui ont
    joué un rôle dans cette opération de camouflage, dressent un tableau
    que les survivants de l’USS Liberty ne peuvent que trouver exaspérant.
    La preuve de l’intention délibérée des Israéliens, contenue tant
    dans les communications interceptées que dans les témoignages, n’est
    pas récusable, même si les Israéliens continuent de décrire cet
    incident comme n’étant qu’une erreur terrible.
    
    Crewdson à fait référence au capitaine de la Navy, Ward Boston, qui
    était l’avocat de la Navy nommé par l’Amiral John S. McCain (le
    père su Sénateur McCain) comme conseiller senior auprès de l’Amiral
    Isaac C. Kidd, désigné pour "enquêter sur tous ces faits et ces
    circonstances". Le fait qu’ils ne disposassent que d’une semaine pour
    réunir les preuves et qu’il leur était interdit de contacter les
    Israéliens pue le "camouflage".
    
    Le 8 janvier 2004, le Capitaine Boston, aujourd’hui âgé de 84 ans, a
    signé une déclaration officielle, dans laquelle il se dit "indigné
    par les efforts que font dans ce pays les apologistes d’Israël pour
    prétendre que cette attaque était un cas ’d’erreur sur la
    personne’". Voici ce que Boston ajoutait : "La preuve était limpide.
    Nous avions la certitude, tant l’Amiral Kidd que moi-même, que cette
    attaque ... fut un effort délibéré de couler un navire américain et
    d’assassiner tout son équipage ... Non seulement les Israéliens ont
    bien attaqué ce navire avec du napalm, des tirs d’obus et des missiles,
    les torpilleurs israéliens ont mitraillé trois canots de sauvetage qui
    avaient été mis à l’eau dans une tentative de l’équipage de
    sauver ceux qui étaient le plus gravement blessés - c’est un crime de
    guerre ... Je sais, à partir de conversations personnelles que j’ai
    eues avec l’Amiral Kidd, que le Président Lyndon Johnson et le
    Secrétaire à la Défense, Robert McNamara, lui avaient ordonné de
    conclure que cette attaque était un cas ’d’erreur sur la personne’,
    malgré la preuve accablante du contraire".
    
    La raison pour laquelle les Israéliens avaient décidé de prendre
    cette mesure draconienne de couler un navire de l’US Navy est ouverte
     aux
    spéculations. Un point de vue est que les Israéliens ne voulaient pas
    que les Etats-Unis découvrent qu’ils massaient des troupes pour
    s’emparer du Plateau du Golan, appartenant à la Syrie, et qu’ils
    voulaient priver les Etats-Unis de l’occasion d’argumenter contre une
    telle manœuvre. Une autre théorie : James Bamford, dans "Body of
    Secrets", rapporte la preuve, y compris le compte-rendu d’un
     journaliste
    qui a été le témoin oculaire et celui d’un historien militaire
    israélien, du meurtre en bloc de prisonniers de guerre égyptiens dans
    la ville côtière d’El Arish, dans le Sinaï. Le Liberty patrouillait
    juste en face de la ville côtière d’El Arish, dans les eaux
    internationales, mais suffisamment près pour recueillir des
    renseignements sur ce qui se passait là-bas. Et les Israéliens en
    avaient pleinement conscience.
    
    Quant au pourquoi, eh bien ! quelqu’un devrait au moins approcher les
    Israéliens impliqués et leur poser la question, non ? La chose
    importante, ici, est de ne pas mélanger ce que l’on sait (la nature
    délibérée de l’attaque israélienne) avec le but qui se cachait
    derrière (qui reste une question de spéculation)
    
    Autres indignités
    
    Se pliant à l’intense pression exercée par la Navy, la Maison Blanche
    a accepté de récompenser le capitaine du Liberty, William McGonagle,
    avec la Médaille d’Honneur ... mais la remise n’eut pas lieu pas à
    la Maison Blanche et ne fut pas faite par le président (comme c’est la
    coutume. A la place, le Secrétaire de la Navy a remis cette récompense
    dans la Cour de la Navy à Washington sur les berges de la rivière
    âcre Anacostia. Un officiel de la navale, impliqué dans cette
    cérémonie de récompense, avait raconté à l’un des membres de
    l’équipage du Liberty : "Le gouvernement est plutôt nerveux
    vis-à-vis d’Israël ... le Département d’Etat a même demandé
    à l’ambassadeur israélien si son gouvernement avait des objections
    à ce que McGonagle reçoive cette décoration".
    
    Et pour comble d’insulte, ceux de l’équipage du Liberty qui avaient
    suffisamment bien survécu pour demander une enquête indépendante
    furent frappé par des accusations de ... devinez quoi ! ...
    d’antisémitisme.
    
    A présent qu’une partie de la vérité émerge, d’autres suivent
    et montrent plus de courage pour s’exprimer. Dans un courriel récent,
    un de mes associés qui a suivi les affaires aux Proche-Orient pendant
    près de 60 ans, m’a fait part de ce qui suit :
    
    "Le chef des analystes du renseignement, qui étudiaient la région
    arabo-israélienne à l’époque, m’a parlé des messages
    interceptés et il m’a dit de façon catégorique et très ferme que
    les pilotes avaient rapporté avoir vu le drapeau américain et
    réitéré leur demande de confirmation de l’ordre d’attaque. Des
    bataillons d’Américains ont eu connaissance de ces interceptions. Si la
    NSA, à présent, dit qu’ils n’existent pas, alors quelqu’un
    donné l’ordre de les détruire".
    
    Que la destruction de ces preuves reste sans enquête est une invitation
    ouverte à ce que cela se répète à l’avenir.
    
    Maintenant, venons-en au tableau plus large. Lors de ma visite en
     Israël
    l’été dernier, on m’a dit constamment que l’Egypte a forcé
    Israël à entrer en guerre en juin 1967. Cela ne colle pas avec les mots
    que Menahem Begin, alors Premier ministre d’Israël, a prononcés en
    1982 sans réfléchir. Au contraire, il a admis publiquement :
    
    "En juin 1967, nous avions un choix. Les concentrations de l’armée
    égyptienne dans les voies d’accès du Sinaï ne prouvent pas que [le
    président égyptien] Nasser était vraiment prêt à nous attaquer.
    Nous devons être honnêtes avec nous-mêmes. Nous avons décidé de
    l’attaquer".
    
    En fait, Israël s’était bien préparé militairement et avait
    monté des provocations contre ses voisins, afin de provoquer une
     riposte
    pouvant être utilisée pour justifier une expansion de ses frontières.
    La guerre illégale d’Israël pour le contrôle et la confiscation de
    terres dans les territoires occupés et le soutien des Etats-Unis qui
    l’a permis (en particulier un soutien à sens unique par l’actuelle
    administration américaine) expliquent en grande partie pourquoi 1,3
    milliards de musulmans nous haïssent.
    
    [1] La Commission des Affaires Publiques Israélo-Américaines
    
    [2] Le Congrès américain
    
    [3] l’Agence chapeautant l’ensemble des services secrets américains
    
    Ray McGovern
    
    publié par CounterPunch, le 6 octobre 2007 article original : So Who’s
    Afraid of the Israel Lobby ?
     http://counterpunch.org/mcgovern10062007.html
    publié en français par
    
    http://questionscritiques.free.fr/edito/CP/Ray_McGovern/
    Lobby_Israel_USS_Liberty_061007.htm
    
    Traduit de l’anglais par [JFG-QuestionsCritiques]
    
    Ray McGovern a été analyste de la CIA de 1963 à 1990 et le chef de la
    branche de Robert Gates au début des années 70. Aujourd’hui, McGovern
    fait partie du comité de direction des VIPS (Veteran Intelligence
    Professionals for Sanity) [Les anciens combattants professionnels des
    renseignements pour l’équilibre mental]. Il a contribué à "Imperial
    Crusades", édité par Alexander Cockburn et Jeffrey St. Clair.
    
    Sources Questions critiques
    publié par Adriana Evangelizt
    
    
    

     

    Kouchner et l'operation "Essaim de feu"  déplore le général Fabio Mini




    <http://www.voltairenet.org/article152051.html>

    Préparation de la guerre contre l’Iran
    Opération « essaim de feu »
    par Général Fabio Mini*
    La guerre contre l’Iran est une absurdité, mais à force d’accuser
    Téhéran de fabriquer la bombe et de se préparer à une opération
    préventive, le système finira par la concrétiser, déplore le
    général Fabio Mini. Selon les plans actuels, elle ne sera pas
    comparable aux conflits précédents, mais expérimentera la théorie
    de l’attaque en essaim, remise au goût du jour par les stratéges de
    la Rand Corporation.



    11 octobre 2007

    Depuis
    Rome (Italie)


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  •  
     
    Vendredi 12 octobre 2007

     

     

    Bonjour,

     

     

     

    Me revoici. Au nom de la Liberté.

     

     

     

    La rubrique « Informations que ne donnent pas les Médias » a beaucoup de succès, alors je récidive. Ras-le-bol des Médias aux ordres ! Ras-le-bol des gouvernements qui ne se soucient pas des peuples, mais seulement de leurs intérêts particuliers ou de ceux des grandes oligarchies financières ou industrielles, notamment militaires ! Les citoyens doivent se réveiller, sortir de leur apathie mortelle, et, grâce à INTERNET, formidable outil de contre-information, ils doivent bouter dehors ces dirigeants corrompus et va-t-en guerre  qui font le malheur des peuples ! Ils doivent exiger une autre politique, qui prenne en compte les intérêts des populations, et cela passe d’abord par le maintien, ou la création, des services publics ou sociaux ! On ne peut pas demander au Marché de régenter toute la politique (voire de se substituer à elle), celle-ci doit reprendre ses droits au détriment de ceux de la Finance, qui ne profite qu’à une minorité de nantis arrogants !

     

     

     

    J’appelle l’ensemble des citoyens de la planète à redresser la tête, à refuser le désordre mondial établi, et à entrer en résistance ouverte contre les pourritures qui font le malheur des peuples ! Comme je le disais dans mon article « Insurrection des peuples contre l’intolérable », en avant, citoyens, prenez les armes d’Internet et de l’action non-violente active pour vous faire entendre ! Réclamez (voir « blog blagueur » ou l’introduction à « Informations 2 ») un gouvernement mondial composé de Sages, de gens responsables, uniquement mûs par le désir d’assurer le bien-être des peuples, de promouvoir leurs intérêts à eux, d’assurer la PAIX partout et la protection de la nature, de la terre, des individus, des animaux, des plantes.

     

     

     

    Oui, le favoritisme des nantis, des plus méritants et de ceux qui réussissent le mieux, ça suffit ! Et l’affairisme pourri, les communautarismes en tous genres, ça suffit aussi ! Les civilisations ne doivent pas s’affronter, mais s’enrichir mutuellement de leurs différences. Exigeons une politique réellement au service des populations, de la paix, de la planète.

     

     

     

    En attendant, voici un article que vous ne trouverez pas dans la presse servile, mais sur Internet, très exactement sur http://www.come4news.com . Il concerne le « désamour » des RUSSES pour notre SARKOZY national, comme d’ailleurs de nombreuses chancelleries européennes, méfiantes envers le style et le comportement du cow-boy hongrois de Neuilly. Vous verrez, dans les commentaires qui suivent, comment les Médias complaisants envers le Président traitent l’actualité. Ils illustrent parfaitement mes précédents articles sur la DESINFORMATION.  Au fait, vous vous souvenez de ce que j’ai écrit dans « Intermède, blog blagueur », en prélude au voyage de Sarkozy en Russie ? Lisez. Cela rejoint l’article que je vous présente ensuite, sur le désamour des Russes. Je l’avais senti venir… et cela n’est pas fini ! Le reste de la planète suivra, mieux informée que nos compatriotes quotidiennement abreuvés des exploits de « Super-Sarko », pour reprendre l’expression utilisée par la presse complaisante (de gré, ou de force). Pauvre France, aux mains de cet homme à l’égo démesuré et à l’autoritarisme caractériel ! Cécilia a sans doute compris. La fière et intelligente Espagnole est bien placée, aux premières loges, pour connaître celui qui dirige aujourd’hui notre pays vers un abîme social et peut-être même nucléaire.

     

     

     

     

    Dès que possible, ici même, j’ajouterai d’autres articles que vous ne trouvez pas dans les Médias, ou seulement dans la presse encore libre. Bonne lecture 

     

    29915240578.jpgNicolas Sarkozy fait fureur en Russie. Le Président français ne posséde pas les mêmes pouvoirs sur les médias russes, qu'en terre française.

     

    Quelques déclarations de Nicolas Sarkozy ont donné bien de l'inspiration aux journalistes russes. La vengeance de l'outil médiatique. De Président au rôle infamant de bouffon !!

     

    Moqueurs, ironistes...les propos fusent...

     

     

     

    Le voyage de Nicolas Sarkozy, en Russie, restera dans les annales de la presse russe, qui attendait avec impatience son arrivée. D'une métaphore, nos scribouillards se sont lancés dans une pluie de quolibets...

     

    "Cela fait trop longtemps que j'avais envie de venir ici. Se réveiller devant la Place Rouge, ce n'est pas rien pour moi".

     

    Gilbert Bécaud avait immortalisé la Place Rouge, avec Nathalie (non, pas Cécilia), Nicolas Sarkozy se teinte de rouge. L'impossibilité de voir la place, depuis son hôtel, la métaphore est repris en choeur, non pas par l'Armée Rouge...

       

    Le gros titre du quotidien Gazeta en dit long : "Sarkozy s'est réveillé et a vu la Place Rouge".

       

    La déferlante s'est poursuivi insidieusement. Les mimiques de Nicolas Sarkozy ont été largement commentées. Les talonnettes, devenant des savonnettes... "Rêves et fantaisies de Nicolas Sarkozy"

       

    L'allusion de notre Président, souhaitant l'entrée d'investisseurs français dans le capital de Gazprom, le géant gazier russe, a été largement commenté: "L'entrée du capital français dans le secteur énergétique russe n'est pas pour demain"

     

    Le ton catégorique de la presse russe, devient pratiquement une épitaphe à la mémoire sarkozienne. Aucun résultat concret, Nicolas Sarkozy donnnant une impression d'inconsistance, pour ne pas dire de faiblesse, face à Vladimir Poutine. Les thémes attendus ont été esquissés. L'Iran, Le Kosovo, la coopération...

     

    Une rencontre test, qui ne tourne pas en faveur de Nicolas Sarkozy. Les nombreuses piques lancées au régime russe, la presse n'est pas en amnésie. Le Président français a eu le don, d'inspirer les médias russes. Entre vodka, datcha, Place Rouge...le petit Nicolas s'est perdu...

     
     
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    DALLAS sur la Place Rouge : Aladin : http://fr.netlog.com/Aladin87/blog
    Cécilia et Nicolas : la rupture clandestine ?

    Les nouvelles moeurs de nos Leaders... Dallas dans le privé, Dallas en 'politique', Dallas avec les français.
    Ton univers ...impi..toy..ya..a..ble!
    à votre avis,, la suite...?
    ... New deal à l'échelle de leur couple ou effondrement écologique de leur couple ?
    Gare à notre planète !!! /// mais les peuples sont sourds,,, bien entendu!

    à bientôt ! ... pour les rouleaux dans la lessiveuse du destin collectif!

    - - -

    Cécilia et Nicolas : la rupture clandestine ?
    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=30197

    Trois semaines que Cécilia Sarkozy aurait quitté son président de mari, à en croire la presse suisse ! La Tribune de Genève et 24 heures ont publié cette nuit le même article, à une phrase près. Le premier journal ajoute une information du Canard enchaîné d’hier : que le secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, « a fait chercher dans les annales quels sont les présidents français ou étrangers qui ont divorcé » en cours de mandat. Pour le reste, le texte est identique, qui démarre en boulet de canon : "La presse hexagonale est prête à officialiser la séparation du couple présidentiel. Les rédactions sont dans les starting-blocks. Les journalistes attendent un communiqué de l’Elysée ou une déclaration de Cécilia Sarkozy pour faire leurs gros titres. « Les pages sont déjà montées », confirme le rédacteur en chef d’un grand magazine." La Tribune est plus explicite encore dans la légende de la photo illustrant le papier : "Cécilia et Nicolas Sarkozy ne vivent plus ensemble. Les journaux attendent la permission de l’Elysée pour annoncer leur séparation." Conclusion identique dans les deux médias : "Les ennuis de couple présidentiel ne sont plus du domaine de la sphère privée. Pourtant, la presse française ne sait toujours pas comment les aborder. Une question d’éthique ? Pas seulement. Les patrons de presse sont tous amis avec le président. Tant que l’info n’est pas officielle, elle n’existe pas. Cécilia et Nicolas Sarkozy ne vivent plus sous le même toit. Est-ce suffisant pour pouvoir parler de séparation ? Quelques journaux commencent à s’y aventurer. Beaucoup attendent une « permission » élyséenne pour pouvoir l’écrire. D’autres spéculent encore sur un nouveau rabibochage de dernière minute."
    En France, Laurent Joffrin, directeur de la rédaction de Libération, s’offusquait lundi dans les colonnes de son journal, dans un éditorial titré Cécilia, la rumeur et l’internet. Sa thèse : les journaux sont sérieux, donc ils ne parlent pas d’une rumeur, au contraire des blogueurs, qui devraient avoir honte de la colporter. Un peu court : s’il n’est pas avéré que la rupture soit définitive, est-il interdit d’en faire état ? On peut objecter que l’information serait sans importance - c’est évidemment ce que prétendent les sarkozystes, sur l’air indigné du "c’est leur vie privée, ne fouillez pas dans les poubelles". Mauvaise foi : qui a constamment mis en scène sa famille, s’étalant en sa compagnie dans la presse people ? Qui met sans cesse en avant sa femme, allant même jusqu’à la dépêcher en mission officielle en Lybie, s’extasiant ensuite à plusieurs reprises de son travail "remarquable" ? De cela, on aurait le droit de parler, et l’on en est d’ailleurs abreuvé dans tous les médias, mais silenzio stampa dès que le couple ne correspond plus à l’image idyllique que Sarkozy veut en donner ? De qui se moque-t-on ? Et si les protestations de Joffrin, mettant la déontologie journalistique en avant, n’étaient qu’une pitoyable tentative de cacher la vérité : que les médias français tremblent de froisser le locataire de l’Elysée et s’autocensurent tant que celui-ci ne leur donne pas le feu vert ? Est-ce ainsi que doit se concevoir une information libre ?



    Jean-Marc Lech, président d’Ipsos évoquait l’information sur BFM, où il a été interviewé le 10 octobre par Hedwige Chevrillon

    -------------------------------------------

    va-t-il falloir créer un comité de soutien à Cécilia ?

    mr le président! soyez chic, les temps ont changé, la force brute de domination masculine, c'est périmé;
    Les temps sont à la Fraternité, au partage, aux soins ou tout au moins à ne pas nuire aux autres...
    >> http://www.choix-realite.org/?3112-alerte-energie-- du-6-octobre-2007

    Sinon vous allez devoir passer une annonce sur Meetic! ... !!

    président de la république, bien sous tous rapports, n'ayant pas peur de lancer la guerre contre l'iran, ayant déjà reconduit à la frontière tant de milliers de sans-papier en 4 mois, réfléchissant à des mesures pour l'écologie de la terre pour plus tard, regardant sagement s'installer les Ogm destructeurs etc

    cherche jeune femme, jolie, disponible, attentionnée et fidèle,
    HONNETE,
    AUTOSUFFISANTE...

    --> le Tsar Co vous fait COCU !!!
    >> http://fr.netlog.com/Aladin87/blog/blogid=1761016
    October 11, 2007
    Déception : Olivier Bonnet : http://olivierbonnet.canalblog.com/
    "Sarkozy s'est réveillé et a vu la Place Rouge", "Rêves et fantaisies de Nicolas Sarkozy", "L'entrée du capital français dans le secteur énergétique russe n'est pas pour demain"... C'est tout ? Avec le titre de l'article, on pouvait s'attendre à davantage de citations montrant la presse russe se moquant de Sarkozy. Là, on reste largement sur sa faim !
    October 12, 2007


    Voilà, comme vous pouvez le constater j'ai changé mon titre, c'était comme celui de l'article ci-dessus "désamour des Russes", maintenant je mets à la place "mauvais baisers de Russie", inspiré du film de James Bond "bons baisers de Russie". Je voulais vous donner d'autres nouvelles du monde, mais à l'instant je trouve un autre article sur ces fameux baisers empoisonnés, cette fois du Nouvel Observateur, cité par http://sego-dom.over-blog.com , le blog où l'on trouve une mine d'infos. Donc, le NO parle de ça, mais qu'avez-vous vu ou entendu aux infos des grandes chaînes ? Certainement pas que les Russes, comme beaucoup d'Européens d'ailleurs (pendant la campagne électorale, je disais aux futurs électeurs, si vous voulez savoir qui est vraiment Sarkozy, vous lisez l'article de Marianne "le vrai Sarkozy", ou bien vous lisez les journax étrangers, à part les Américains et les Israéliens. Eux savent...), supportent de moins en moins notre héros (pour combien de temps encore ?) national...

     

    SARKOZY a fait chou blanc. Pendant sa campagne, il avait montré un net durcissement de ton à l’égard du Kremlin sur des sujets que Jacques Chirac évitait : Tchétchénie, droits de l’homme, comportement « impérial » de la Russie vis-à-vis de ses anciens satellites. Depuis son accession à l'Élysée, il n'a pas ménagé Poutine. Devant les ambassadeurs, il a critiqué une Russie qui « impose son retour sur la scène mondiale en jouant avec une certaine brutalité de ses atouts, notamment pétroliers et gaziers ». Et la semaine dernière, il l’a évoqué comme « un pays qui complique la résolution des grands problèmes du monde » plutôt qu'un « facilitateur ». Mais pas question pour Nicolas Sarkozy de « faire de concessions sur le fond de ses valeurs », avait prévenu le porte-parole, David Martinon. En 48 heures de séjour, Sarkozy a dû reconnaître qu’il avait été mis au pied du mur… du Kremlin.

    Le premier jour, tout allait apparemment bien. On abordait les sujets de politique étrangère. Sur l’Iran, c’est la surdité volontaire, Poutine assurant ne pas avoir « d'informations selon lesquelles l'Iran aspire à produire des armes nucléaires ». Sur le Kosovo, où Moscou, refuse l'indépendance que soutient la France, la « piste » dont a fait état Sarkozy pour « rapprocher les points de vue » semble vague.

    Restait, outre quelques « ouvertures » commerciales, les dossiers « intérieurs » qui fâchent, juste après l’anniversaire de la mort d’Anna Politkovskaïa. Seul signe de « rupture » avec la pleutrerie de la diplomatie française, Sarkozy avait décidé de rencontrer des représentants du Mémorial, l’ONG fondée par Sakharov, qui a continue de recenser les crimes commis en Tchétchénie et au Caucase.

    Après avoir parlé aux étudiants russes de l’avantage d’avoir une presse et une justice libres, le temps de la Realpolitik est revenu devant un Poutine glacial : Sarkozy évoquait les fameuses « spécificités russes », une expression inventée afin de donner une justification historique à l'autoritarisme et à l'arbitraire, éternelle excuse de la non-immixtion, maintes fois utilisées par Chirac chaque fois qu’il s’agit de moyenner avec les dictatures. Peine perdue : Poutine qui jusque là tutoyait Sarko, lui a froidement donné du « Monsieur le Président ».

    Cela avait quand même une autre gueule quand Mitterrand au milieu d’un dîner de gala au Kremlin évoquait devant les vieillards du bureau politique éberlués le nom – interdit - de Sakharov…

    Par Jean-Marcel BOUGUEREAU

    Rédacteur en chef au
    Nouvel Obs
     

     

       



    Il CORNUTO CONTENTO medved-igor@inbox.Lv

    Indépendance
    de la presse française
    <http://fr.novopress.info/?p=9383>


    LA PRESSE FRANçAISE “ATTEND L’AUTORISATION DE L’ELYSÉE” POUR
    ANNONCER LE DIVORCE DU COUPLE SARKOZY

    [Olivier Bonnet - Agoravox - 11/10/2007]
    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=30197

    Trois semaines que Cécilia Sarkozy aurait quitté son président de
    mari, à en croire la presse suisse ! La Tribune de Genève et 24 heures
    ont publié cette nuit le même article, à une phrase près. Le
    premier journal ajoute une information du Canard enchaîné d’hier :
    que le secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, « a
    fait chercher dans les annales quels sont les présidents français ou
    étrangers qui ont divorcé » en cours de mandat.

    Pour le reste, le texte est identique, qui démarre en boulet de canon :
    “La presse hexagonale est prête à officialiser la séparation du
    couple présidentiel. Les rédactions sont dans les starting-blocks. Les
    journalistes attendent un communiqué de l’Elysée ou une déclaration
    de Cécilia Sarkozy pour faire leurs gros titres.

    « Les pages sont déjà montées », confirme le rédacteur en chef
    d’un grand magazine.La Tribune est plus explicite encore dans la
    légende de la photo illustrant le papier : Cécilia et Nicolas Sarkozy
    ne vivent plus ensemble. Les journaux attendent la permission de
    l’Elysée pour annoncer leur séparation.”

    Conclusion identique dans les deux médias : Les ennuis de couple
    présidentiel ne sont plus du domaine de la sphère privée. Pourtant,
    la presse française ne sait toujours pas comment les aborder. Une
    question d’éthique ? Pas seulement. Les patrons de presse sont tous
    amis avec le président. Tant que l’info n’est pas officielle, elle
    n’existe pas. Cécilia et Nicolas Sarkozy ne vivent plus sous le même
    toit. Est-ce suffisant pour pouvoir parler de séparation ? Quelques
    journaux commencent à s’y aventurer.
    Beaucoup attendent une « permission » élyséenne pour pouvoir
    l’écrire. D’autres spéculent encore sur un nouveau rabibochage de
    dernière minute.

    En France, Laurent Joffrin, directeur de la rédaction de Libération,
    s’offusquait lundi dans les colonnes de son journal, dans un éditorial
    titré Cécilia, la rumeur et l’internet.

    Sa thèse : les journaux sont sérieux, donc ils ne parlent pas d’une
    rumeur, au contraire des blogueurs, qui devraient avoir honte de la
    colporter. Un peu court : s’il n’est pas avéré que la rupture soit
    définitive, est-il interdit d’en faire état ? On peut objecter que
    l’information serait sans importance - c¹est évidemment ce que
    prétendent les sarkozystes, sur l’air indigné du c’est leur vie
    privée, ne fouillez pas dans les poubelles.

    Mauvaise foi : qui a constamment mis en scène sa famille, s’étalant
    en sa compagnie dans la presse people ? Qui met sans cesse en avant sa
    femme, allant même jusqu’à la dépêcher en mission officielle en
    Lybie, s’extasiant ensuite à plusieurs reprises de son travail
    “remarquable” ? De cela, on aurait le droit de parler, et l’(on en
    est d’ailleurs abreuvé dans tous les médias, mais silenzio stampa
    dès que le couple ne correspond plus à l’image idyllique que Sarkozy
    veut en donner ? De qui se moque-t-on ?

    Et si les protestations de Joffrin, mettant la déontologie
    journalistique
    en avant, n’étaient qu¹une pitoyable tentative de cacher la
    vérité : que les médias français tremblent de froisser le locataire
    de l’Elysée et s’autocensurent tant que celui-ci ne leur donne pas le
    feu vert ? Est-ce ainsi que doit se concevoir une information libre


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  •  
     
    Vendredi 12 octobre 2007

    333.jpg

    Bonjour,

     

    Censurée ! Oui ! Comme par hasard, maintenant, quand j’écris un article, je vois apparaître : « L’article n’a pas été trouvé, il ne peut être publié ! » ! C’est nouveau ! Lorsque je commentais l’actualité avec une plume frondeuse certes, mais primesautière, tout allait bien, l’enregistrement se faisait aussitôt. Mais maintenant que le ton est plus grave, étant donné les risques de conflit nucléaire pouvant embraser la planète toute entière au grand bénéfice des profiteurs de guerre, marchands d’armes ou de la reconstruction, surtout américains d’ailleurs, eh bien je rencontre les pires difficultés à publier un article. Deux fois j’ai dû recommencer l’article sur le désamour de la Russie pour Sarkozy.

     

    Désormais, j’écris tout sur Word, et je fais un copié-collé. Et s’il le faut, j’irai au cyber pour la publication, je verrai un spécialiste, mais on ne censurera pas la LIBERTE !  Là où elle est assassinée, elle renaît toujours ! La liberté est un bien qu’il faut préserver comme la planète et la paix. On ne me fera pas taire ! Je ne me laisserai pas censurer, comme lorsque, jeune journaliste à la Télévision, on m’a demandé d’annuler l’interview prévu sur la Présidente de l’Association Internationale des femmes pour la paix ! Je pouvais tout dire, à l’époque, dans mon émission justement intitulée «  Libre à vous », sauf parler de la paix ! Révélateur, n’est-ce pas ? Vous voyez l’enjeu, aujourd’hui, pour les marchands de mort qui contrôlent la plupart des MEDIAS, en tous cas les grandes chaînes de télé ? Je fais l’apologie de la PAIX, et ça, aujourd’hui, c’est plus grave que tout !

     

    Les guerres, elles, sont décidées par des BUSH, CHESNEY, SARKOZY ou KOUCHNER qui, le moment venu, soyons-en assurés, se protégeront dans des bunkers ultra-sophistiqués, où tout leur sera servi sur un plateau d’argent, peut-être même dans un ranch quatre étoiles spécialement reconstitué pour leur bon plaisir ! Ce sont les peuples qui paient le prix de leur folies, de leur goût de puissance, de leur cupidité, ou de leurs liaisons dangereuses ! Ce sont eux qui versent leur sang, donnent leurs fils, leurs foyers, leur santé, tout ce qu’ils ont, pour satisfaire les caprices des monarques repus d’argent et de faveurs !

     

    Assez de boucheries, assez de folies ! Et celle-ci risque d’être nucléaire ! Peut-être est-ce le but, d’ailleurs, nettoyer au karcher une partie de l’humanité pour permettre à une minorité de profiter d’une nature préservée, d’accaparer les richesses encore existantes, de se partager les biens de la terre ! On peut tout supposer, de la part de dirigeants cyniques, cupides, corrompus, haineux, à moitié fous , en tous cas ivres de puissance, de gloire, d’argent ! Mais je pose une question : Comment feront-ils pour s’enrichir toujours plus, s’il y a de moins de moins d’esclaves « modernes » à qui on peut demander de travailler toujours plus en gagnant toujours moins et en perdant les dernières protections, les derniers acquis sociaux, n’est-ce pas, M. de Sarkozy ? Il faut voir le long terme !

     

    Alors oui, je suis debout, et personne ne me forcera à me coucher. L’article suivant sortira, d’une manière ou d’une autre. Au nom de la Liberté, au nom de la Vérité, au nom de la Paix, au nom de la Vie.

     

    Abonnez-vous tous (voir rubrique newsletters, à droite de l’écran), amis lecteurs. Ma voix est forte, courageuse, prophétique. Ne la laissez pas s’éteindre, défendez-la. Et recommandez mon blog.

     

    Vôtre Eva, journaliste-résistante à l‘intolérable qu’on prépare aux peuples. Plus que jamais !


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    Vendredi 12 octobre 2007

     

     

    Bonjour,

    Au menu de ce nouveau "pack" d'informations, les préparatifs de guerre en Iran, avec la fabrication de prétextes, de tensions, de témoignages.... ou la prochaine réunion américaine sur le Proche-Orient, viciée à la base.  Pour comprendre comment les dirigeants de la planète se moquent des peuples.
    Et pour inciter les citoyens à dénoncer ces dramatiques mascarades...

    Ca suffit, l'information orientée, aseptisée, truquée, rassurante ! Découvrons les vrais ressorts des événements, les vrais enjeux...

     

    medved igor" <medved~igor@inbox.lv>  Ajouter au carnet d'adressesAjouter au carnet d'adresses
    À:    à  evaresis@yahoo.fr
    Objet: Une forte odeur de pétrole

     

    Après avoir été porté aux nues, Alan Greenspan, pendant près de
    vingt ans indéboulonnable gouverneur de la Banque fédérale
    américaine, la FED, et à ce titre tsar de l’économie
    états-unienne, est maintenant très critiqué, y compris à Washington
    où on lui impute l’éclatement de la “bulle immobilière” et ses
    conséquences dramatiques: la crise financière et demain sociale.
    
    Faut-il attribuer le discrédit frappant actuellement “Magic
    Greenspan” à ses récentes déclarations sur l’agression de
    l’Irak, ou est-ce au contraire la rancœur d’être jeté aux chiens
    par ceux-là mêmes qui l’encensaient naguère qui l’a incité à
    manger enfin le morceau?
    
    Toujours est-il qu’interrogé le 16 septembre par le Sunday Times de
    Londres à l’occasion de la parution de ses Mémoires, Greenspan a
    martelé: “Je regrette d’avoir à reconnaître ce que tout le monde
    sait. La guerre contre l’Irak ne fut pas engagée pour neutraliser
    l’arsenal d’armes de destruction massive qu’était censé détenir
    ce pays, ni pour empêcher Saddam Hussein d’aider le terrorisme
    [prétextes avancés par Londres et Washington pour légitimer
    l’agression] mais uniquement pour mettre la main sur le pétrole.”
    
    Venant de l’homme longtemps le plus puissant du monde, cette charge
     prend
    tout son sens alors que la même menace pèse sur l’Iran, lui aussi
    superpuissance pétrolière — et qui voudrait de surcroît prendre du
    champ par rapport au dollar comme unité de compte. Dans une
    correspondance de Washington, un autre hebdomadaire britannique, le
    conservateur Sunday Telegraph, affirmait en effet le même 16 septembre
     en
    citant “les chefs des services de renseignements et du ministère de la
    Défense” états-uniens que “George W. Bush et son premier cercle
    s’avancent sur le sentier de la guerre contre l’Iran”, dont “2 000
    cibles à bombarder” ont déjà été déterminées. Tout indique,
    précisait le journal londonien, que “Condoleezza Rice, qui
    privilégiait une solution diplomatique, est maintenant prête à
    s’aligner sur le vice-président Dick en vue d’une action militaire”
    — qui s’exercerait d’abord sur la base méridionale de Fajr,
    principal cantonnement des Gardiens de la Révolution — dont est issu le
    président Ahmadinejad.
    
    Toujours selon le Sunday Telegraph, “le premier cercle de M. Bush a
    décidé que le président ne devait pas finir son mandat sans
    s’assurer d’abord que l’Iran est définitivement incapable de
    développer une arme nucléaire” — rappelons une fois de plus que
    Téhéran revendique simplement son droit à la maîtrise du
    nucléaire civil. “Une escalade” est donc prévue, avec de nouvelles
    justifications pour l’agression programmée: “Au cours des prochains
    mois, les Etats-Unis fabriqueront des tensions et des témoignages (the
     US
    will build tensions and evidence) autour des activités iraniennes en
    Irak” — activités que le général David Petraeus, commandant en
    chef en Irak, a déjà maintes fois dénoncées.
    
    Mais s’agit-il là de raisons ou bien plutôt de prétextes, comme en
    2002-2003? On ne sache pas en effet que l’Oncle Sam se soit beaucoup
    ému quand deux Etats de la région, Israël puis le Pakistan, se sont
    dotés de l’arme nucléaire, ni, plus récemment, devant les
    ingérences turques dans le nord de l’Irak. En revanche, on rappellera
    que Bush junior, ancien gouverneur du Texas, et son vice-président Dick
    Cheney sont très liés au lobby pétrolier états-unien, qui fut en
    2000 comme en 2004 leur principal pourvoyeur de fonds électoraux. Que
     les
    deux bénéficiaires du pactole tiennent à exprimer leur gratitude est
    tout à leur honneur, mais la “communauté internationale” en
    général et la France — dont le représentant Bernard Kouchner
    était le 21 septembre à Washington et le président le 25 à l’ONU,
    où il a plaidé pour le renforcement des sanctions contre Téhéran
    — en particulier ne sont nullement tenues de reprendre cette dette à
    leur compte, en interdisant par exemple à Total (1) tout investissement
    en Iran, histoire de ne faire aucune ombre aux pétroliers
    d’outre-Atlantique.
    
    Au fait, faut-il mettre à l’actif des “tensions” fabriquées par
    Washington l’assassinat, aussitôt imputé au front irano-syrien, du
    député phalangiste Antoine Ghanem? Certes, ce chrétien était un
    opposant farouche au clan al-Assad et son élimination le 19 septembre,
    à une semaine de l’élection présidentielle libanaise où il
    s’agissait de donner un successeur au prosyrien Emile Lahoud, semble
    servir les intérêts de Damas. Mais les choses sont-elles aussi simples?
    Le tardif aveu de Greenspan quant à la véritable — voire seule —
    raison de la guerre d’Irak incite à la prudence.
    
    Jacques LANGLOIS.
    
    _____
    
    (1) La compagnie pétrolière française a été également sommée
    le même soir sur France 2 par la cabotine anglaise Jane Birkin (de quoi
    j’me mêle?) d’interrompre ses activités en Birmanie sous prétexte
    des méthodes dictatoriales de la junte militaire. Comme si les mêmes
    méthodes empêchaient British Petroleum et la Standard Oil de prospecter
    au Nigeria et en Angola…
    
    PALESTINE : LA REUNION DE WASHINGTON
    
    infos@france-palestine.org
    De: afps@france-palestine.org  Ajouter au carnet d'adressesAjouter au carnet d'adresses
    Objet: [afps-infos] communiqué de presse de l'AFPS : réunion de Washington
    Réunion de Washington

    L’AFPS tient à exprimer sa préoccupation et sa consternation à la veille de la réunion américaine sur le Proche-Orient qui doit se tenir dans un mois. En effet, selon les informations disponibles, alors que des discussions nombreuses se sont tenues en tête-à-tête entre Ehud Olmert et Abou Mazen, le chef des négociateurs palestiniens vient de déclarer que « pour l’instant il n’y a aucun accord sur aucun sujet » entre les deux parties.

    La raison centrale de cette situation tient au fait que la partie israélienne se refuse à aborder les trois points majeurs que l’ONU a soulignés à maintes reprises pour permettre la fin de ce conflit qui dure depuis 60 ans, à savoir l’établissement d’un Etat palestinien dans les frontières de 1967, la désignation de Jérusalem-Est comme capitale de cet Etat et, enfin, la question d’un juste règlement du problème des réfugiés.

    Par ailleurs, les exigences israéliennes consistant à demander des engagements sur le fait que le futur Etat palestinien soit laïc et que son économie soit stable frôlent la provocation. L’Etat hébreu est-il laïc et son économie stable ? Les Palestiniens devraient-ils aussi demander la réciprocité à Israël en ces domaines sachant notamment que si l’économie palestinienne est ce qu’elle est cela provient de l’occupation par ce pays d’une terre qui ne lui appartient pas ?

    Demander un « accord global » sur les 3 questions relatives aux conditions de la création d’un Etat palestinien est capital bien que ce ne soit rien d’autre que demander la mise en œuvre du droit international.

    A cet égard l’annonce faite que ces questions portant sur la création d’un Etat palestinien seront examinées « après » la rencontre américaine a de quoi interroger sur ce qui est recherché exactement pour cette réunion. Il est bien évident, en effet, qu’un nouveau report, c’est-à-dire ad vitam æternam, de cette question majeure et que toute absence d’accord « global » seront considérés comme un camouflet supplémentaire infligé au peuple Palestinien dont les dirigeants actuels seront tenus pour responsables jusqu’à être totalement déconsidérés.

    Cela ne manquera pas de renforcer des éléments déclarés « hostiles » par les responsables israéliens. Est- ce cela qui est aussi recherché ? Cette manœuvre existe et elle est particulièrement dangereuse. Il n’en n’est que plus incompréhensible que des voix autorisées, ne se fassent pas entendre afin que cette réunion ne se traduise pas par un échec de plus en ces moments si difficiles en Palestine.

    Nous en appelons aux responsables français afin qu’ils oeuvrent dans ce sens avec résolution. Pour l’heure nous ne pouvons que nous inquiéter des silences assourdissants qu’ils manifestent.

    AFPS, Paris, 9 octobre 2007

     

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    Association France Palestine Solidarité (AFPS) - 21 ter Rue Voltaire
     75011 Paris - afps@france-palestine.org - http://www.france-palestine.org
     - Tél. : 01 43 72 15 79 - Fax. : 01 43 72 07 25
    
    L'Afps, association loi 1901, a pour vocation le soutien au peuple
     palestinien notamment dans sa lutte pour la réalisation de ses droits
     nationaux.  L'Afps agit pour une paix réelle et durable fondée sur
     l'application du droit international en lien avec le peuple palestinien et ses
     représentants légitimes. L'Afps exige: 
    
    - la fin de l'occupation de tous les territoires envahis en 1967 et le
     démantèlement de toutes les colonies.
    - la création d'un Etat palestinien indépendant souverain et viable
     avec Jérusalem-Est pour capitale.
    - la reconnaissance du droit au retour des réfugiés conformément à la
     résolution 194 votée par l'Assemblée générale de l'ONU.
    - la protection internationale du peuple palestinien, et des sanctions
     contre Israël (suspension de l'accord d'association Union
     Européenne-Israël)...
    
     
    Pièces jointes

    Fichiers :
     
     
    communiqu__presse_r_union_de_washington.pdf communiqu__presse_r_union_de_washington.pdf (93k) Consulter et sauvegarder dans l'ordinateur

    Les intérêts de Washington dans la guerre d'Israël - l'AVISEUR INTERNATIONAL - Observer le Liban, par SEYMOUR HERSH

     

    Le fameux article de Seymour Hersh où l'on voit comment un pays sera détruit par une bande d'assassins qui n'ont rien à faire de la vie des gens. Mieux, on voit que Cheney et Abrams sont les priincipaux instigateurs poussant Israël à la guerre "avant que Bush ait quitté le bureau."  Ce qui signifie clairement que tant que leur marionnette est en place, ils pourront mener leurs destructions sur tous les pays qu'ils ont dans le collimateur et c'est la raison pour laquelle ils se dépèchent car, évidemment, le temps presse. Lire les deux articles qui démontrent qu'Israël n'est finalement que le "mercenaire" des "States". Il reçoit beaucoup de subsides pour faire, en contrepartie,  le sale boulot que les pontes de Bush ne veulent pas faire. Mieux, ils partagent les bénéfices de leurs destructions, nous voilà revenu au temps d'Attila quand les hordes barbares se partageaient le butin des régions dévastées. Il est grand temps qu'un ouragan balaient ces élites dévoyées pour les remplacer par des êtres dignes de ce nom, ayant un peu plus de respect pour l'Humanité, là cela devient carrément insoutenable et intolérable.

     

     

    Observer le Liban :

    Les intérêts de Washington dans la guerre d’Israël

     

    par Seymour Hersh

     

    Quelques jours après que le Hezbollah soit entré en Israel, le 12 juillet, pour enlever deux soldats, déclenchant une attaque aérienne israélienne sur le Liban et une guerre totale, l’Administration Bush a semblé étrangement passive.

    "C’est le moment de vérité", a déclaré le Président George W. Bush au sommet du G-8, à St. Petersburg, le 16 juillet. "Nous comprenons maintenant pourquoi nous n’avons pas la paix au Moyen-Orient."

    Il a décrit la relation entre le Hezbollah et ses supporters en Iran et en Syrie comme l’une des "causes à la base de l’instabilité", et plus tard, il a dit qu’il appartenait à ces pays de mettre fin à la crise.

    Deux jours plus tard, en dépit des appels de plusieurs gouvernements demandant aux Etats-Unis de prendre la tête des négociations pour mettre fin au combat, le Secrétaire d’Etat, Condoleezza Rice, a déclaré qu’un cessez-le-feu devrait être reporté jusqu’à ce que "les conditions soient favorables."

    Pourtant, l’Administration Bush était très impliquée dans la planification des attaques de représailles israéliennes.

    D’après des diplomates et des responsables des renseignements, actuels et anciens, le Président Bush et le vice-président Dick Cheney étaient convaincus, qu’une campagne de bombardement réussie de l’Armée de l’Air israélienne sur les complexes souterrains de contrôle et de commandement, et de lancement de missiles très fortifiés du Hezbollah au Liban pourrait soulager les problèmes de sécurité d’Israel et également servir de prélude à une potentielle attaque préventive américaine pour détruire les installations nucléaires en Iran, dont certains sont également profondément enterrés sous le sol..

    Les experts de l’armée et des renseignements israéliens à qui j’ai parlé ont souligné que les questions sécuritaires du pays étaient une raison suffisante pour se confronter au Hezbollah, indépendamment de ce que voulait l’Administration Bush.

    Shabtai Shavit, un conseiller à la sécurité nationale auprès de la Knesset qui a dirigé de 1989 à 1996 le Mossad, les services de renseignements israéliens à l’étranger, m’a dit : "Nous faisons ce que nous pensons être le mieux pour nous, et si cela s’avère justement répondre aux exigences de l’Amérique, cela fait seulement partie d’une relation entre deux amis. Le Hezbollah est armé jusqu’aux dents et formé à la technologie la plus pointue de la guérilla. C’était simplement une question de temps. Nous devions le faire. 
    (suite article à l'Aviseur International, http://www.marcfievet.com/article-3576110.html )

    Iran nucléaire

     

    La plus importante concentration navale de l’histoire contemporaine au large du Golfe arabo-persique

     

    Paris le, 19 septembre 2007
    par René Naba

     

    La plus importante concentration navale de l’histoire contemporaine est déployée dans la zone Golfe arabo-persique/Océan indien, dans une démonstration de force américaine sans précédent face à l’Iran, alors que le Conseil de Sécurité des Nations-Unies se penche le 21 septembre 2007 sur le programme nucléaire iranien avec en arrière plan la menace d’une intervention américaine contre le Régime islamique de Téhéran.

     

    Lire la suite

    http://renenaba.blog.fr/2007/09/19/p3007123#more3007123


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