• Alerte ! Télévision communautariste....

     
     
    Vendredi 2 novembre 2007

    2.JPG Bonjour,

     

    La France n’est plus un pays libre ; c’est un état totalitaire. En effet, un groupe a fait main basse sur la télévision, et sur de nombreux médias, les accaparant au détriment de la pluralité républicaine. En clair, cela signifie que les Français ne peuvent plus se faire leur opinion librement sur une question donnée. A leur insu, la réponse leur est imposée, à sens unique. Ce scandale, il faut le dénoncer, j’appelle les internautes à faire circuler cet article, ou mieux, à le reproduire dans leur blog ou sur leur site. Il y va de la liberté, de la démocratie. L’enjeu, finalement, n’est pas seulement national, il est mondial. Internautes, mobilisons-nous pour sauver la liberté d’information et donc la démocratie.

     

    Notre société est très malade ; nous allons léguer à nos enfants un monde qui n’est plus viable. En effet, depuis quelques années, la dette de l’Etat a augmenté d’une manière préoccupante, et le phénomène ira en s’amplifiant avec les cadeaux que M. de Sarkozy accorde à ses amis les plus nantis; le pillage des ressources s’intensifie au détriment des générations futures ; la course aux armements, notamment nucléaires, crée un immense danger pour la survie de l’espèce humaine ; les déchets, surtout radioactifs, seront un lourd fardeau à gérer ; nos modes de vie sont un contre-exemple, et ils entraînent une pollution démentielle. Enfin, la démocratie recule partout dans le monde, pire, en dépit des belles paroles, elle est en train de mourir, sous les coups de butoir des oligarchies financières, médiatiques, militaires.

     

    Aujourd’hui, je voudrais vous entretenir des médias totalitaires, accaparés par un seul groupe pour imposer ses vues au service d’intérêts très particuliers et au détriment de la liberté - et de l’intérêt général.

     

    A vrai dire, j’ai commencé à me poser des questions voici plus de dix ans, en remarquant que les émissions religieuses accordaient à Judaïca une place qui ne correspondait pas du tout au nombre de Juifs en France (plus ou moins 600.000). Moi dont le seul critère est l’équité, le souci de justice, je ne comprenais pas pourquoi les Musulmans qui étaient presque dix fois plus nombreux, ne disposaient que de trente minutes de temps d’antenne alors que la communauté juive en avait quarante-cinq, ainsi qu’une meilleure heure de programmation, plus tardive. L’injustice était si criante, et les récriminations certainement si fortes, que Judaïca dut partager son temps d’antenne avec les Orthodoxes.

     

    Plus je regardais les émissions, plus je me demandais pourquoi on voyait surtout des Juifs à la télévision, journalistes, invités, etc. Quant aux prétendus intellectuels, ce sont presque toujours les mêmes qui défilent à l’écran, copinage oblige, et toujours pour refaire le monde à leur façon, bien peu intellectuelle justement, puisque partisane. Pour moi, un authentique intellectuel a non seulement des positions fortes, à contre-courant même, en tous cas souvent dérangeantes et surtout libres de toute appartenance. Dans l’un de mes articles, intitulé «  Il reste au moins une intellectuelle », j’expliquais que je ne me coucherai jamais devant le Pouvoir ou l’Argent, et que je ferai toujours preuve d’indépendance d’esprit, quitte à en subir les conséquences. Portant en moi des influences multiples, notamment religieuses, je ne peux que travailler au rapprochement des peuples, des cultures, des religions : ce qui me convient, c’est d’être un pont, un facteur de conciliation et de réconciliation. Je déteste l’esprit partisan, de clocher, de chapelle. Et nos intellectuels, aujourd’hui, n’en sont pas vraiment ; à longueur d’antenne, ils défendent les mêmes idées, les mêmes engagements, les mêmes causes. En dépit de leur universalisme affiché,  ils se désintéressent toujours du sort des Palestiniens, pourtant les plus opprimés et principal enjeu de la paix dans le monde. Ainsi, B.H. Lévy est un faux intellectuel, toujours prompt à pérorer sur la libération des peuples, en oubliant de mentionner les Palestiniens pourtant les premières victimes de l’injustice.

     

    Au fur et à mesure que les années passaient, j’ai constaté une aggravation de la situation.  Dans C. dans l’Air, par exemple ce sont toujours les mêmes invités qui défilent, débattant entre gens de bonne compagnie qui pensent exactement la même chose, à quelques nuances près, et toujours pour défendre le libéralisme et ne piper mot  sur les souffrances des Palestiniens ou des Libanais. L’émission de débat se réduit à un échange entre partisans de plus de libéralisme ou d’un peu moins, lorsqu’on interviewe un policier en pleine élection, c’est afin de lui permettre de faire l’éloge du Ministre de l’Intérieur Sarkozy, quand on parle de la situation au Liban attaqué par Israël,  c’est en invitant les pourfendeurs du Hezbollah et les défenseurs des positions de l’attaquant. Belle neutralité !

     

    Quant à la V, on assiste à un défilé des mêmes amis, du Point ou du Figaro ; les adversaires sont réduits à la portion très congrue, ou on s’arrange pour les priver de leur liberté en détournant leurs propos dès qu’ils deviennent critiques envers Sarkozy, quand on ne se contente pas purement et simplement de leur faire parler de la pluie ou du beau temps. Le temps de parole de l’opposition est respecté, mais le contenu est privé de signification.

     

    Le pire, c’est FR2, encore et toujours elle. Il y a quelques années encore, la chaîne accordait une place non négligeable aux excellents reportages de Charles Enderlin, qui faisait un vrai travail de journaliste, professionnel, varié,  neutre. Aujourd’hui, les temps ont bien changé, avec l’arrivée d’hommes comme M. Darmon à des postes importants, lui-même chargé de suivre Sarkozy dans le moindre de ses déplacements. Même chose pour Jeff Wittenberg (orthographe non garantie). Désormais, la souffrance des Palestiniens est devenue tabou ; si un Israélien décède lors d’un attentat, on en fait tout un plat, mais si plusieurs petits Palestiniens sont tués, ça n’a aucune importance, la vie n’a pas la même valeur suivant que l’on se place d’un côté ou l’autre de la frontière. Ce n’est plus du journalisme, c’est de la propagande pure et simple. Finis le pluralisme, le débat, la neutralité, l’objectivité. J’ai longuement parlé des médias complaisants dans certains articles comme « FR2 télé propagande », « Appel à résister » (mon premier article), « Alerte, on vous ment, les journalistes se mobilisent », pour ne citer que ceux-là (voyez la catégorie de publication, selon le cas politique, médias, ou pas de catégorie).

     

    Si les médias ne respectent pas la neutralité, s’ils donnent la parole toujours aux mêmes qui  défendent des points de vue identiques, s’ils masquent la réalité, la travestissent ou la déforment, s’ils manipulent l’opinion, s’ils taisent les informations gênantes comme les coups de sang de Sarkozy ou les critiques qui lui sont faites, s’ils n’accordent aucune place aux approches contraires ou contradictoires,… ce n’est plus de l’information, c’est de la propagande comme dans l’Italie de Berlusconi. Et c’est tragique pour la liberté et donc la démocratie.

     

    J’aime mettre les pieds dans le plat, tant pis pour les conséquences. Lorsque j’étais journaliste pour une grande chaîne de télévision française, à l’époque où celles-ci étaient encore libres, une seule de mes émissions a été censurée, l’interview de la Présidente de l’Association internationale des Femmes pour la paix. Comme vous le savez, ce sont les marchands de mort – d’armes – qui sont derrière les plus grands médias ; on comprend mieux pourquoi la télévision préfère diffuser des films de guerre plutôt que des documentaires sur les initiatives en  matière de paix. L’emprise d’un seul groupe d’intérêts ou d’individus est contraire à la démocratie. Et cette influence est occulte, méconnue du grand public, et elle exerce des ravages à l’insu des citoyens.

     

    Jamais une émission sur les méfaits du libéralisme – ou alors quand tout le monde dort, ainsi FR2 s’est risquée à diffuser un remarquable (pardonnez-moi, je ne me souviens plus du titre exact) « dans les coulisses de la spéculation », à cinq heures du matin ; objectif, réaliste fracassant – on sortait de ce documentaire traumatisé ! Si tous les citoyens pouvaient connaître la vérité comme dans ce remarquable reportage, ils deviendraient les adversaires de la malfaisante Pensée unique. Mais non, soit on travestit ou on dénature le réel, soit on l’embellit, soit on s’évertue, comme sur FR2, à citer des exemples à l’étranger qui confortent la démonstration.

     

    La télévision, comme la plupart des médias, est pour l’essentiel aux mains d’un même groupe d’individus, orientés de la même façon : la défense du libéralisme et d’Israël. Ce groupe est crispé sur son identité, ses origines, et comme il accapare tous les leviers, l’uniformisation est complète, au grand dam de l’égalité républicaine. Le communautarisme est intolérable, qu’il vienne des Juifs, des Musulmans, ou des Evangéliques. Aux commandes, et à l’œuvre, pourtant, ce sont les mêmes, toujours de parti pris, distillant les mêmes discours, véhiculant les mêmes idées, argumentant de manière identique. Finis l’équilibre, l’ouverture, le pluralisme.

     

    En d‘autres termes, les Juifs qui représentent une toute petite partie de la population mondiale, 12 millions d’habitants - c’est si peu – , sont surreprésentés dans les médias, au détriment de la diversité, des Noirs, des Asiatiques, des athées, des Musulmans, des Chrétiens… Jour après jour, ils tissent leur toile d’araignée,  excluant peu à peu tous les autres, régnant en maîtres, décidant de tout, supervisant tout, petite minorité qui impose ses vues à la majorité. L’information est orientée, elle est monolithique, parce que concentrée entre les MEMES mains. A-t-on vraiment réalisé à quel point la liberté est en danger ? Nous ne pouvons plus nous prévaloir de la démocratie. Elle est en train de mourir, sous les coups de butoir d’un groupe, d’un parti unique - bientôt -, et d’un seul homme, Sarkozy, décidant à lui seul de tout. La France devient sans qu’on n’y prenne garde un pays totalitaire. Qu’en pense M. Robert Ménard, le patron de Reporters Sans Frontières ? Rien. Et c’est scandaleux ; Quand on lui parle des dérives des médias, il esquive, il est ambigu. En fait, il protège ses petits copains. Vous voulez mon avis ? Il n’est pas digne de représenter une association censée défendre la liberté de l’information. Qu’il soit démis de se fonctions, c’est une œuvre de salut public. Et le CSA est une imposture.

    Qui finance cette imposture, au fait ? Nous, les citoyens ? Nous acceptons cela ? Sommes-nous à ce point aveugles ?

     

    Je vous laisse l’article ci-joint à méditer ; je l’ai trouvé par hasard, et j’ai tout de suite su qu’il était dans la vérité, et que cette vérité-là devait être mieux répandue. A vous, amis connus ou inconnus d’Internet, à prendre la relève. Mon blog est né du désir de résister à l’intolérable. Entrons en résistance face à ce monde abject qu’on nous prépare ! C’est un devoir moral.

     

    Je vous rappelle que vous devez absolument visiter le site  http://syti.net, comme plus de sept millions de personnes avant vous : pour savoir ce que les maîtres du monde trament contre vous, contre nous tous – impunément. J’appelle de mes vœux une nouvelle prise de la Bastille des privilèges, mais cette fois à l’échelle mondiale.

     

    Rendez-vous aussi au Forum de la paix, vous avez tous les renseignements sur le site de http://Robocup555.blogs.nouvelobs.com , il a consacré un article récent au Forum.  Vous pouvez aussi cliquer sur  "forum de la paix",  il est en LIEN (présentation blog)

     

    Je vous renvoie aussi à mon article sur le projet d’extermination d’une partie de la population mondiale pour le confort d’une minorité, c’est juste avant « B.H.Lévy communautariste, Israël et le nucléaire et tragédie palestinienne », l’avant-dernier article. Faites circuler cette article, reproduisez-le, et passez à l’action contre l’intolérable qu’on nous prépare, comme dans mon « femmes en guerre contre la guerre », ou « insurrection des peuples contre l’intolérable », etc

     

    Je vous dis à bientôt, avec des articles à venir comme « douce Amérique» ou « douce terre d’Israël » (suite des trois  « Douce France » de Sarkozy le casseur), ou « La France en 2010 », un nouveau  «déshumanisons, déshumanisons… » ou encore une sélection d’articles à lire pour comprendre le monde infernal que les maîtres du monde nous préparent. 

    Votre Eva. Abonnez-vous à ma prose, gratuitement, voyez newsletters, et recommandez mon blog, c'est celui de l'indépendance totale d'esprit.

    TAGS : Déshumanisation, paix, médias, totalitarisme, démocratie, liberté, FR2, la V, C. dans l’Air, Jeff Wittenberg, Mickaël Darmon, B.H. Lévy, Israël, Palestine, résister, France, Noirs, Asiatiques, Musulmans, Chrétiens, Evangéliques, CSA, M. Ménard, Reporters sans frontières, Pensée Unique, Libéralisme, Arabes,  Sarkozy, Berlusconi, Charles Enderlin, Le Point, le Figaro, Judaïca, Internet, Juif, femmes, communautarisme… 

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    Je vous avais promis cet article, qui m'a donné l'idée d'écrire le mien ; impossible de le trouver , il s'est envolé ! Voici la référence que javais notée...

    http://lesogres.tv/article.php3?id_article=62 ; 
    Je l’avais imprimé en découvrant le site il y a quelques semaines, parce qu’il concernait les médias, auxquels bien entendu je m’intéresse en tant que journaliste professionnelle. Je vous en reproduis une partie.

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    Une petite parenthèse concernant l’Actualité : Sarkozy va voir Bush (FR2 télé propagande dit à l’instant qu’ils vont « se rencontrer dans un lieu où souffle l’histoire »… comme c’est beau ! La réalité doit l’être beaucoup moins : envisager les modalités de la guerre contre l’Iran - pour commencer -, et sous n’importe quel prétexte fallacieux, afin, entre autres, de prendre le contrôle de la production et du transport du pétrole. Voyez mon article « guerre d’extermination des peuples pour le confort d’une minorité »), on verra ce que les médias complaisants en diront ; ensuite, l‘état d’urgence au Pakistan. Tout est lié. A mon avis, il s’agit d’une reprise en mains avant la guerre contre l’Iran et les pays arabes, afin de ligoter le Pakistan au cas où il souhaiterait défendre les Musulmans agressés injustement. Le Pakistan possède la bombe atomique, ne l’oublions pas ; alors, on neutralise les opposants éventuels à la guerre d’extermination d’une partie des Musulmans. Pour moi, les criminels qui engagent les peuples dans des guerres effroyables pour leur seul profit, financier ou de confort, devraient être traduits devant la Justice, et empêchés de nuire. En somme, incarcération préventive, en réponse aux guerres préventives décidées unilatéralement par une poignée d’illuminés comme Bush, Sarkozy, Kouchner – ou soutenues par leurs copains plus ou moins intellectuels comme B.H. Lévy.

     

    Voici des extraits de l’article :                           

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    «  La communauté juive française, composée paraît-il de 600.000 personnes, est aujourd’hui prise en otage au plan politique par

    -          l’idéologie sioniste : Israël à tous prix et intégrisme communautariste carriériste juif, et

    -          l’idéologie néo-sioniste : Avoir raison et dominer en instrumentalisant les Juifs et les Nazis, la Shoah et israël.

    -          Les deux pouvant être ensemble et globalement qualifiées d’idéologie néo-sioniste, puisque le sionisme d’origine visant la création d’un Etat israélien n’a plus aucun sens à exister, le but étant atteint.

     

    La plus grande arnaque mondiale de l’idéologie sioniste a été de faire croire via les mass-médias ultra-libéraux, aux ordres des vendeurs d’armes et de pétrole, au  concept de « GUERRE CONTRE LE TERRORISME » (indispensable à la poursuite de la politique coloniale d’extrême droite israélienne), une expression qui n’a aucun sens puisque par essence on ne peut combattre le terrorisme que par des actions secrètes de renseignement, ce qui se faisait bien avant le 11 septembre 2001.

     

    L’idéologie néo-sioniste met en œuvre des outils sémantiques et des manipulations mentales et politiques qui permettent d’asseoir son pouvoir et d’avoir raison, presque quel que soit le sujet dont on parle. Et pas seulement comme beaucoup le croient au sujet du seul conflit israélo-palestinien, ou de sujets liés à la communauté juive.

     

    Ainsi, on instrumentalise les Juifs, la Shoah, et surtout les clichés antisémites, pour développer tous les pouvoirs ultra-libéraux et museler toutes les résistances anti-libérales, voire même simplement « gauchistes » ou « sociales ».

     

    Par exemple, toute critique des plus riches ou même de la richesse, deviendra antisémite dans une société corrompue par le néo-sionisme.

     

    Ou aussi, tout autre communautarisme que le Juif deviendra antisémite, directement ou indirectement.

     

    Le néo-sionisme est une insulte au judaïsme, une perversion politico-religieuse, une insulte à tous les Juifs qui veulent simplement  un respect de leurs croyances, de leurs pratiques, et de leur histoire.

     

    Si la répartition des gens dans les médias était fonction des compétences, elle serait proportionnelle en fonction des religions et communautés.

     

    C'est-à-dire que sur 100 personnes qui défilent à l’écran par ex,  vous devriez voir un Juif, 10 Noirs, 10 Arabes, 5 Asiatiques, et 74 % qui ne sont ni l’un ni l’autre.

     

    Ou si l’on ne parle que religion, 1 Judaïque, 5 Musulmans, 5 divers,  40 chrétiens et 50 athées.

    Or, la répartition constatée n’est pas du tout celle-là. Il existe une sous représentation alarmante des Noirs, des Jaunes, des Arabes, mais aussi des Musulmans.

     

    Par contre, sur 100 personnes, vous voyez à l’écran près de 50 Juifs là où vous devriez en voir un seul, et vous voyez 50 non Juifs là où vous devriez normalement en voir 99.

     

    Mais sur 100 personnes qui défilent à l’écran, vous voyez aussi 50 sionistes juifs et 30 néo-sionistes non Juifs, et 20 personnes « diverses » seulement.

     

    Le communautarisme juif n’explique pas seul cette surreprésentation. Les autres communautarismes, noir, arabe, ou musulman ou catholique ou protestant, devraient également avoir placé leurs lobbyistes, or ce n’est pas le cas.

     

    C’est bien le lobbying politique néo-sioniste qui amène une très forte proportion de Juifs à condition qu’ils soient sionistes, mais aussi donc la quasi-inexistence  médiatique de Juifs non sionistes. C’est aussi le lobbying  politique néo-sioniste qui impose dans les médias une grande proportion de néo-sionistes non Juifs, et le rejet de non sionistes ou de personnes simplement indifférentes à cette idéologie.

     

    Les débats ne sont pas équilibrés. Dans la plupart des débats de société, vous trouverez au moins un représentant de la communauté juive, ce n’est pas le cas pour les autres communautés minoritaires. Vous y trouverez toujours plusieurs idéologues néo-sionistes. Souvent même, sur des sujets très sensibles comme Israël ou Bush ou les payas arabes, vous trouverez 100% de débatteurs juifs, qui ne diront pas la plupart du temps leur partialité dans le débat.

    Imagine-t-on un débat sur les Noirs sans Noir ? Un débat sur les Noirs avec uniquement des Noirs ? Quel équilibre de débat ? Quand un débat comporte un anti-sioniste, vous trouverez toujours pour l’encadrer une forte majorité et des « calibres » néo-sionistes. (Eva : Tout cela, je l’ai moi-même constaté, et déploré, au nom de l’équité la plus élémentaire, républicaine).

     

    Des émissions se font une spécialité de ce genre de manipulation. Il s’agit de C. dans l’Air… Chez Fog.. (etc).

     

     Les chaînes les plus idéologues néo-sionistes sont Direct 8, BFM, i Télévision, LCI, France 2, France 5, M6.  (Eva : Je ne regarde pas les chaînes pré citées, sauf France 2  et France 5. Et concernant ces deux chaînes, je l’ai évidemment remarqué, car cela saute aux yeux de tout observateur).

     

    Les réseaux néo-sionistes sont particulièrement visibles dans l’axe du bien américano-sioniste, dominé par les évangéliques faucons américains, pas Juifs, puisque chrétiens-protestants, mais plus sionistes même que les Israéliens.((Eva : Tout à fait vrai. J’ai fréquenté longtemps les évangéliques, même américains, et j’ai constaté que les chrétiens protestants-évangéliques étaient fanatiquement sionistes – avec les répercussions que l’on sait sur la politique au Proche-Orient -, le meilleur exemple étant une personne de ma famille convertie à ma suite, et devenue d’une intolérance totale depuis qu’elle fréquente les Assemblées de Dieu pentecôtistes. Pour elle, la priorité c’est le soutien INCONDITIONNEL à Israël. Cela pose de graves problèmes, puisque ce fanatisme peut diviser les familles et, à terme, favoriser une guerre dans la région qui peut rapidement dégénérer en guerre mondiale – Bush l’a lui-même dit, envisagé, et probablement a-t-il déjà conçu tous les plans pour atteindre ce but, souhaité par la minorité opulente de notre monde qui d’une part n’estime plus viable une planète remplie d’improductifs à prendre en charge, d’autre part de trop gros consommateurs d’une énergie qui ne sera pas illimitée. Voyez mon article « guerre d’extermination des peuples… », ou le site Syti.net. Naturellement, les salopards qui souhaitent une nouvelle guerre seront les premiers à s’en protéger, comme je l’ai déjà dit, dans leurs bunkers dorés quatre étoiles.))

     

    En France, … la mise au jour de ces réseaux (néo-sionistes), contrairement à d’autres réseaux moins fermés et moins complotistes, est rendue difficile par la chape de culpabilité et de diabolisation liée au crime contre l’humanité perpétré par les Nazis sur des Juifs et d’autres minorités.

     

    …. Il est devenu impossible à un Juif non sioniste, ou pire, anti-sioniste, d’apparaître à la télévision française, et ceci uniquement pour raison politique et idéologique ! … Les sionistes sont surreprésentés dans les médias : Plus de 50 % des gens qui y ont accès.

     

    Ces personnes ne sont en réalité plus juives au sens religieux du mot. Elles sont sionistes, au sens exclusivement politique. ( et donc ultra-libérales, voir à C. Dans l’Air, où des ultra-libéraux « débattent » avec des libéraux qui le sont un peu moins).

     

    L’idéologie néo-sioniste est pourtant contraire aux fondements de la République et aux droits de l’homme. " ( L'article continue avec une liste de néo-sionistes que je ne reproduirai pas - Eva).

     

    Dans l’un de mes très prochains articles, j’écrirai une Lettre ouverte à G.W. Bush (néo-conservateur chrétien évangélique, lui ; les fanatismes religieux se ressemblent ! Toujours aussi hideux, instrumentalisant à leur profit une religion digne de respect).

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    Sur http://laviedesidees.fr/La-polémique-sur-le-lobby-pro.html , voici un article où l’on parle entre autres des lobbies qui manipulent les médias. Faute de place, l'article ne paraît pas en entier. Cliquez sur la référence que je viens de donner pour la suite de l'article ( Eva)


    Idées du monde > La polémique sur le « lobby pro-israélien » Israël autrement

    La polémique sur le « lobby pro-israélien »

     
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    Rédigé par deux spécialistes des relations internationales, le rapport sur le « lobby israélien » a suscité une très vive controverse aux États-Unis. Au cœur de la polémique, le rôle du « lobby » dans la politique étrangère américaine, notamment au Proche et au Moyen-Orient.

     

    Recensés

    John Mearsheimer et Stephen Walt, « The Israel Lobby and U.S. Foreign Policy », étude accessible sur le site de la Harvard University : http://ksgnotes1.harvard.edu/Resear...
    Le débat public « The Israel Lobby : Does it Have too much Power on U.S. Foreign Policy ? » organisé par la London Review of Books à Cooper Union (New York) le 11 octobre 2006, à consulter en ligne : http://www.scribemedia.org/2006/10/....

    Comment expliquer la relation spéciale unissant l’Amérique à Israël ? Deux spécialistes des relations internationales, John Mearsheimer (professeur à l’université de Chicago) et Stephen Walt (professeur à la Kennedy School of Government de Harvard), ont suscité la polémique en répondant à cette question délicate. Dans une étude de 83 pages présentant tous les gages du sérieux académique, mise en ligne sur le site de l’université de Harvard en mars 2006 et publiée simultanément par la London Review of Books (LRB) dans une version abrégée, ils ont défendu leur interprétation de cette relation : le choix américain d’un soutien quasi inconditionnel à Israël s’expliquerait par une influence disproportionnée du « lobby israélien ».

    Si c’est la première fois qu’elle est proposée dans une version apparemment aussi rigoureuse, cette explication n’est pas nouvelle. Dans des versions polémiques et quelquefois paranoïaques, elle a été régulièrement avancée depuis la guerre du Liban (celle de 1982) et le soutien américain à Israël dans ce conflit, qui ont coïncidé avec la montée en puissance du lobby. En 1985, Paul Findley, un représentant républicain de l’Illinois vaincu aux élections de 1982 après avoir siégé vingt-deux ans au Congrès, a alimenté la théorie du complot en imputant sa défaite aux tractations du « lobby juif ». Dans un livre intitulé They Dare to Speak Out [1], il a accusé celui-ci d’empêcher toute discussion sur la politique étrangère des Etats-Unis au Moyen-Orient et a mis en garde contre un prétendu contrôle du Capitole par le lobby. D’autres auteurs ont considéré après lui le soutien de Washington à Tel-Aviv comme contraire aux intérêts politiques américains et ont également tenu le lobby pour responsable de ce choix politique, jugé au mieux mal inspiré et, au pire, nuisible [2].

    Moins suspecte a été l’attaque de George W. Ball, parce qu’elle émanait d’un acteur respecté de la politique étrangère américaine. Selon cet ancien ambassadeur aux Nations unies, son pays se serait égaré dans un « attachement passionné » pour Israël, dont les coûts financiers, politiques et moraux seraient considérables [3]. Puis, dans le sillage du 11-Septembre, la polémique a été relancée par un débat sur la prétendue double allégeance des Juifs américains. Lorsqu’en 2004 deux anciens responsables de l’AIPAC, l’organisation en charge du lobby en faveur d’Israël, sont condamnés pour avoir aidé un employé du Pentagone à transmettre des informations secrètes à Israël, la théorie de la conspiration renaît.

    Une alliance mise en doute

    Il faut créditer Mearsheimer et Walt d’avoir tenté de relancer le débat sur des bases sérieuses et d’avoir voulu prendre leur distance à l’égard des études plus ou moins douteuses qui les ont précédés. Un examen rigoureux de l’influence du « lobby juif » avait rarement été entrepris jusqu’alors [4]. Leur rapport a pourtant suscité, à en croire Michael Massing, la plus grande controverse intellectuelle depuis l’article que Samuel Huntington avait consacré au choc des civilisations dans Foreign Affairs en 1994 [5]. Si Mearsheimer et Walt ont été soutenus par des progressistes satisfaits que l’influence du lobby pro-israélien soit enfin soumise à examen, les critiques se sont abattues sur leur étude, venant non seulement des défenseurs habituels d’Israël, mais aussi de la gauche et de personnalités ouvertement hostiles aux objectifs de ce lobby et d’Israël [6]. En réponse à ces attaques extrêmement nombreuses et, pour certaines, d’une grande violence, les auteurs ont nuancé certains de leurs propos dans un court article publié par Foreign Policy [7] puis à l’occasion du débat organisé par la London Review of Books [8] en octobre 2006. Pour comprendre cette controverse, c’est cependant à la version originale de l’étude qu’il convient de revenir.

    Cette étude part d’un constat largement consensuel : le caractère exceptionnel de la relation unissant Tel-Aviv et Washington, fondé selon les auteurs sur un soutien américain d’un niveau « unique ». Mearsheimer et Walt rappellent des faits bien établis. Israël est depuis 1976 le plus important bénéficiaire de l’aide économique et militaire américaine – entre 1949 et 2005, l’aide totale des Etats-Unis à Israël s’est élevée à 153 milliards de dollars [9]. Israël jouit également d’un soutien diplomatique hors du commun de la part de Washington. Les auteurs rappellent que, depuis 1982, les Etats-Unis ont voté contre toutes les résolutions du Conseil de sécurité condamnant Israël. Il faut préciser pourtant que le soutien américain n’a jamais été systématique : il est arrivé que Washington prenne ses distances à l’égard d’Israël lorsque ses actions ou ses demandes l’ont embarrassé. Mentionnons également le délai, critique pour Tel-Aviv, avec lequel Washington mit en œuvre le pont aérien assurant le ravitaillement en armes lors de la guerre du Kippour, ou encore l’injonction adressée à Israël en 1989 par le secrétaire d’Etat James A. Baker III de mettre un terme à la colonisation dans les territoires occupés. Ces exemples ne sauraient cependant remettre en cause l’exceptionnel soutien américain à Israël.

    Pour Mearsheimer et Walt, tous deux partisans d’une politique étrangère américaine faisant primer l’intérêt national, ce soutien est irrationnel et incompréhensible car Israël serait devenu un « handicap stratégique » pour Washington. Depuis la fin de la Guerre froide, pendant laquelle l’Etat hébreu a joué le rôle de substitut stratégique des Etats-Unis au Moyen-Orient, l’avantage d’avoir Israël comme ami n’est plus aussi évident qu’auparavant. Ce soutien vaut à Washington un blâme embarrassant de la part des démocraties soucieuses du respect des droits de l’homme dans le monde, et fragilise ses relations avec les pays du Golfe. Pour les deux auteurs, il accroît également le risque terroriste pour les Etats-Unis. Pourtant, chacune des guerres dans lesquelles Israël a été engagé a servi de terrain d’essai pour les armes que Tel-Aviv avait achetées à Washington, et la coopération stratégique entre le Mossad et la CIA continue à représenter des avantages pour les Etats-Unis.

    Pour Mearsheimer et Walt, la relation spéciale entre les deux pays ne peut plus non plus être justifiée par des considérations morales : Israël n’est plus menacé comme il a pu l’être jadis, il n’est plus la démocratie respectueuse des droits qu’il a longtemps prétendu être et la réparation des souffrances infligées dans le passé aux Juifs se fait désormais aux dépens du peuple palestinien. D’où la question posée par les auteurs : si la relation spéciale liant les Etats-Unis à Israël est en contradiction avec les deux explications classiques de la politique étrangère que sont le réalisme et la moralité, comment en rendre compte ? Pour Mearsheimer et Walt, l’explication est simple : elle « réside dans le pouvoir inégalé du “lobby israélien” », qui serait le seul lobby « à avoir emmené la politique étrangère américaine aussi loin de la direction que l’intérêt national aurait conseillé d’emprunter ». On retrouve là une analyse qu’on a pu déjà lire ailleurs.

    Une influence exagérée

    L’originalité de l’étude est pourtant de proposer une définition nouvelle de ce lobby comme « coalition lâche d’individus et d’organisations activement mobilisés pour orienter la politique étrangère des Etats-Unis dans un sens pro-israélien », incluant non seulement les organisations juives actives en faveur d’Israël, mais aussi les chrétiens évangéliques et les néo-conservateurs. Dans la suite de leur étude cependant (dès la page 18), les deux auteurs perdent totalement de vue cette définition large : les exemples qu’ils fournissent à l’appui de leur démonstration sont quasiment tous des cas d’influence juive, comme si les Juifs étaient les uniques responsables de la politique américaine à l’égard du Moyen-Orient. Il s’agit là d’une erreur de raisonnement, qui remet en cause le sérieux de la démonstration et conduit à s’interroger sur les intentions réelles des auteurs. Lorsqu’ils écrivent « lobby israélien », c’est en fait le « lobby juif » qu’ils désignent, et plus particulièrement l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC), la seule organisation juive à être dûment accréditée auprès du Congrès pour y défendre les intérêts d’Israël.

    L’AIPAC (voir l’encadré p. 78) est en effet un lobby très puissant – le deuxième en terme d’influence, après celui des retraités, selon le classement effectué par le magazine Fortune en 1997. Il dispose de très nombreux membres, d’un personnel extrêmement compétent et compte beaucoup d’amis haut placés à la Maison Blanche et au Congrès, mais aussi parmi les syndicats et les leaders évangéliques. Il bénéficie également de l’hyperactivité politique des Juifs, de leurs contributions élevées aux financements des campagnes (d’autant plus efficaces qu’elles sont coordonnées et bien ciblées) et de la prévisibilité de leur comportement électoral. L’AIPAC a également la chance d’être en concurrence avec un lobby arabe qui est bien loin d’avoir son degré d’organisation et son efficacité. Pour Walt et Mearsheimer, tous ces atouts permettent à l’AIPAC de « dominer le Congrès américain ».

    Selon eux, la force du « lobby israélien » (en fait des organisations juives pro-Israël) résiderait également dans sa capacité à faire taire les critiques à l’encontre de Tel-Aviv. Grâce à des think tanks extrêmement actifs, tels le Washington Institute for Near East Policy (WINEP) créé en 1985 pour peser sur la politique américaine à l’égard du Moyen-Orient [10] ou le Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA) qui plaide pour la coopération des deux pays dans le domaine de la défense, grâce aussi à un certain nombre d’experts et d’intellectuels soucieux de l’intérêt israélien, le « Lobby » parvient en effet à monopoliser largement le débat sur le bien-fondé de la relation avec l’Etat hébreu. Assurément aussi, l’accusation d’antisémitisme est très rapidement brandie. Mais, en accusant le lobby de « manipuler » les médias et de « faire la police sur les campus » (ils pensent notamment à la liste établie par le site Campus Watch [11]), Mearshei-mer et Walt oublient qu’il existe des lieux (telle la Brookings Institution) et des personnes (Noam Chomsky par exemple) qui n’ont pas totalement perdu leur liberté d’expression.

    Si l’analyse de l’influence des organisations juives pro-Israël sur le Congrès et les médias est relativement convaincante, celle de leur contrôle de la Maison Blanche l’est beaucoup moins. Il est vrai que, dans certaines conditions, les Juifs peuvent être des « faiseurs de roi » – leur concentration dans les Etats qui comptent pour l’emporter au collège électoral et leur taux de participation record peuvent faire basculer des élections serrées –, mais leur fidélité presque systématique au Parti démocrate ne leur permet pas d’influencer une Maison Blanche républicaine. En outre, même lorsque celle-ci est occupée par un ami de Tel-Aviv, démocrate ou républicain, la cause israélienne peut essuyer de cuisants échecs, ce qu’omettent de mentionner Mearsheimer et Walt. En 1981, l’AIPAC ne parvint pas à empêcher les Etats-Unis de vendre le système de défense antiaérienne AWACS à l’Arabie Saoudite. Toujours sous l’administration Reagan, il ne sut pas éviter la reconnaissance de l’OLP par la Maison Blanche. Plus tard, le lobby pro-israélien tenta à plusieurs reprises d’obtenir le transfert de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem, mais en vain. Il ne réussit pas non plus à empêcher l’administration Clinton de concevoir un plan de paix qui devait conduire à la division de Jérusalem.

    Mais ce qui préoccupe tout particulièrement les deux auteurs est l’influence du « lobby israélien » (en fait de l’AIPAC) sur l’administration Bush – nous arrivons à l’argument central de l’étude qui est aussi celui qui a fait couler le plus d’encre. Pour Mearsheimer et Walt, l’incapacité dans laquelle serait l’exécutif actuel d’imposer des limites aux actions israéliennes dans les territoires occupés et de contraindre les Israéliens à négocier avec les Palestiniens serait à


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