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    Jeudi 3 avril 2008

     

     




















    Re-bonjour

    J'ajoute ceci à ma précédente publication, car je n'ai plus de place sur mon dernier post, or je voudrais partager avec vous cette analyse qui me semble utile pour la compréhension du monde où Sarkozy l' Américain nous entraîne, pour notre perte et la perte de l'identité française. 

    Vous avez bien lu : La perte de notre identité française. Ce n'est pas rien, c'est terrible !

    Donc, il faut se souvenir que Sarkozy était dans sa jeunesse membre, ou au moins sympathisant, je ne me souviens plus,  d'un groupe d'extrême-droite appelé : " Occident ".

    Comme son nom l'indique, il prônait la supériorité - raciste, en quelque sorte - de l'Occident sur tout le reste.

    L' Afghanistan : Les Russes qui en réalité sont les vrais vainqueurs de la guerre de 39-44, contrairement à un autre mythe voulant nous faire croire que les Américains étaient les "sauveurs", sont réputés pour leur opiniâtreté. Or, ils se sont embourbés en Afghanistan. En réalité, les Américains ne feront pas mieux, même avec l'aide du bataillon français symbolique ... d'un petit millier d'hommes. Cette guerre, outre qu'elle est coloniale, impérialiste, ne sera pas gagnée.

    Et pourtant Sarkozy le cow-boy fanatiquement épris du modèle de vie américain, matérialiste, axé sur la réussite, l'opulence, la force, le clinquant - toutes valeurs d'ailleurs incompatibles avec la foi chrétienne dont se réclament nos voisins d' Outre-Atlantique -, tient absolument à impliquer nos troupes.

    Il est clair que pour lui, ce pas a une grande valeur, symbolique : En l'accomplissant, Sarkozy se place délibérement dans une optique de défense des valeurs de l'Occident, aux côtés de l'homme le plus discrédité et le plus haï dans le monde : Georges Bush.

    En faisant cela, le Président français prépare notre pays non seulement à intégrer l' OTAN dont les Français ne veulent pas, mais à promouvoir la fameuse guerre de civilisation chère à la bande d'illuminés néo-cons américains, maquillée en guerre contre le terrorisme. En d'autres termes, Sarkozy va impliquer les Français dans une intégration à une organisation militaire sous commandement américain dont ils ne veulent pas, mais pire encore, dans une guerre idéologique contre un ennemi fabriqué de toutes pièces (ne serait-ce que pour détourner l'attention des vrais problèmes) : islamique. En amalgamant, au passage, Islamisme et Islam, alors que presque tous les Musulmans sont parfaitement intégrés et opposés à des guerres de prestige, de colonisation, préventives, etc.

    L'Iran ne veut pas la guerre, entouré de pays hostiles il cherche, au pire,  à se doter de  l'arme nucléaire comme simple instrument de dissuasion. On le comprend, c'est son Droit le plus absolu, et une nécessité vitale, face à ses voisins belliqueux et prêts à n'importe quoi pour s'emparer de  ses ressources ( c'est du vol ), et pour contrôler cette zone stratégique. De surcroît, l'OTAN souhaitera tôt ou tard, et probablement plutôt tôt que tard, s'en prendre à la Syrie, coupable de non-alignement. De quoi attiser la haine contre l' Occident, le terrorisme qu'on veut combattre... et même l'Islam que cette croisade judéo-chrétienne qui ne dit pas son nom (j'aimerais d'ailleurs connaître le rôle exact de ce Pape) souhaiterait pourtant, au fond, éradiquer.  

    Autant dire que la Syrie, comme l'Irak laïcs, sombrerait dans le chaos, les guerres intestines entre confessions différentes, tribus différentes, etc - ce que recherchent certainement les décideurs du monde, heureux de dresser les habitants, les régions, les peuples, les uns contre les autres, pour mieux les affaiblir, les contrôler, les dominer.

    L'heure est très grave : En envoyant des troupes en Afghanistan, en rapprochant la France contre son gré de l'OTAN, en réalité Sarkozy prépare notre entrée en guerre, au nom de la défense d'une certaine civilisation - occidentale. Notez d'ailleurs qu'il nous a en quelque sorte préparés, non avant les élections, hypocritement et avec la complicité de médias très coupables, mais en parlant de "civilisation", un mot important pour lui, et pour nous générateur de souffrances, de racisme, de colonialisme, de barbarie - oui, de barbarie, justement, le mon antynomique de civilisation.

    Ainsi, on nous aura trompés sur toute la ligne : avant les élections, maintenant en nous cachant les motifs véritables et en nous entraînant contre notre gré dans des aventures lourdes de risques, et demain en nous faisant rentrer probablement dans une guerre nucléaire sinon mondiale - aux premières loges, derrière des capitaines infâmes, lourdement protégés dans leurs bunkers dorés.

    Cet homme-là est très dangereux. Il trahit la France, sa spécificité, le général de Gaulle dont il ose se réclamer, il agit en parvenu qui se croit tout, absolument tout, permis, comme si notre pays était sa propriété - même de nous entraîner dans les plus effroyables aventures, contraires à notre volonté d'indépendance et à nos traditions. La France a une Histoire, des valeurs, une vocation, totalement contraires à l'aventurisme du nouveau Président : Il n'a rien compris à notre mentalité, à notre génie propre. Et il piétine nos aspirations.

    Il faut empêcher cet homme de nuire à nos intérêts en prétendant les incarner, alors qu'il n'est qu'un homme de mains des néocons au pouvoir, américains, anglo-saxons, israéliens, français. Nous ne voulons pas être un simple rouage de la machine de guerre américaine, nous ne voulons pas mener la guerre de l' Occident judéo-chrétien contre les Musulmans.

    Il est urgent d' exiger la destitution de Sarkozy avant que le point de non-retour ne soit atteint, avant que nous ayons mis le pied dans un engrenage qui nous emportera tous.

    J'ai improvisé  ce papier en quelques minutes,  à la suite de l'autre publication,  sans lien, sans rien. Seulement parce que j'éprouvais le besoin  de partager avec mes lecteurs, de plus en plus nombreux, ce que je ressentais - comme d'habitude prophétiquement, pardonnez-moi cette expression, elle convient en effet. Mon tort aura été souvent d'avoir raison trop tôt. Comme lorsque je mettais en garde tout le monde AVANT les élections sur la personnalité de Sarkozy, et son atlantisme outrancier.

    Bonne journée,

    Eva

    A noter, trois néocons français à l' OTAN : Sarkozy, Kouchner, Lévy.  Pas au service de la France !

    MEDIAS, la honte, suite (voir mon blog désinformation...)
    http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/

    Au journal de 2O h sur FR2, hier, seulement un court mot anodin de Pujadas sur le sommet de l'OTAN, glissé, pardon, perdu, au milieu d'annonces sans importance. Et tenez-vous bien, Calvi, dans son C dans l'Air, nous a entretenus du terreau du terrorisme, l'islamisme - au lieu de nous parler des changements vitaux qui se préparent en matière de politique étrangère ! Sans doute perfidement, machiavéliquement, pour nous amener à la croisade de l'Occident contre les nouveaux ennemis qu'Il s'invente après les communistes.... et qu'Israël ne cesse d'appeler de ses voeux, pour protéger son territoire en faisant le vide autour de lui. Effrayant retournement de l'Histoire pour ceux qui ont tant souffert et qui s'apprêtent, aujourd'hui, à exterminer ceux qui les gênent, comme les Nazis avant eux. Alors que leurs propres citoyens aspirent pour beaucoup à la paix, et plongent dans la misère.

    Ainsi, là comme ailleurs, les dirigeants ne représentent jamais les aspirations de leurs peuples. Les équipées guerrières coûtent fort cher, et rapportent beaucoup aux industriels de l'Armement ! Qu'on remerciera d'ailleurs en leur offrant sur un plateau d'argent les Médias, des mandats électifs, des  fortunes immorales, et même des rues à leur nom. Au lieu de les traduire devant un Tribunal pour crimes contre l' humanité !

    Eva

    http://globe.blogs.nouvelobs.com/archive/2008/04/02/la-lettre-de-sarkozy-aux-leaders-de-l-otan.html


    reçu d'une mère :


    Ma fille vient de m'appeler, elle se trouve dans un immense centre commercial du coté de Croissy sur Marne
    L'armée y a installé un stand pour recruter des volontaires pour l'Afganistan
    J'invite à écrire au procureur !
    Bisou à toi

     Arthénice


    TV  -  Ce soir ou jamais, 3.4.8. Sujet Afghanistan, pas un mot sur le renversement de la politique étrangère française. Tous les invités sont du même bord, à part une comédienne qui a vécu sur place.  Désinformation, toujours ! La honte..


    L'idéologie extrême-droitière de l'Union européenne !

    Très pertinente interview d?Emmanuel Todd pour qui « le renforcement des troupes françaises en Afghanistan est une erreur diplomatique et stratégique, et...

    suite cliquez ici
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    Sarkozy est surtout proche d'anciens d'Occident comme Devedjian ou le relativement discret de nos jours Alain Madelin. Il n'a pas lui même été membre de ce groupuscule fascisant, adepte du matraquage de gauchistes et d'actions musclées dans la vieille tradition d'Assas. On retrouve cette fascination dans son rejet de tout ce qu'il assimile à Mai 68 ainsi que l'adoration vers une Amérique mythifiée rempart contre le péril bolchévique. Cette fascination qui le pousse à rejoindre la campagne de contre l"'Axe du Mal, agrégat de gens poursuivant chacun leur but mais qui est toujours de favoriser Israel. Lieu de retour du Messie pour les nouveaux cons, euh, néo cons. Quand aux anciens d'Occident c'est leur vieux rêve d'une Europe blanche et chrétienne qui se manifeste refusant ce qu'ils voient comme une "islamisation" de l'Europe, sans parler de leur refus naturel de laicité.
    Je vais mettre ce blog en lien sur le mien.

    En commentaire sur mon blog. Merci à Rébus ( http://sarkobasta.over-blog.com/ )


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    Affaire slovène, l'Europe dirigée par les USA 

     (voir précédente parution)
    Réponse d'un traducteur des balkans :

     

     

    Bonjour à tous, (M.Collon, et moi-même)

     

     

     

    Malheureursement je ne maitrise pas la langue slovène pour pouvoir la traduire car elle est assez éloignée du serbo-croate.

     

    Par contre j'ai eu aussi des échos de ce scandale des directives américaines sur l'Europe par le biais de la présidence slovène, ce qui prouve à quel point l'Europe est inféodé aux USA.

     

     

     

    Amitiés.

     


    JE  CHERCHE UN TRADUCTEUR SLOVENE pour ce document prouvant que l'Europe est inféodée aux USA (Eva)

     

     

     

    ----- Original Message -----
    From: Michel Collon
    To: eva..
    Sent: April 02, 2008
    Subject: Re: A mon avis, affaire à creuser : Un joli scandale dont on n'a pas parlé... EU et Europe- SCOOP SLOVENE (message que j'ai envoyé à M. Collon)

    En effet, il serait bien de pouvoir trouver quelqu’un qui traduirait l’article slovène !

    Je transmets ceci à un ami spécialiste des balkans.

    Merci, Eva!

    Michel (COLLON)





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    yahoo.com
    LE SOMMET DE L'OTAN À BUCAREST FERA DATE ...



    Roland Dumas : La fin de la voix de la France, du Gaulisme, bientôt le terrorisme ici aussi !

    http://lesogres.info/article.php3?id_article=3895

     

    Roland Dumas : "J’alerte les Français !"

     

    Propos recueillis par Thomas de Rochechouart,

     

    3.4.8

     

    Alors que s’ouvre le sommet de l’Otan, Roland Dumas dénonce « l’alignement » de la France sur Washington : « La responsabilité du gouvernement sera immense devant l’histoire », redoute-t-il.

     

    FRANCE-SOIR. Que pensez-vous du rapprochement France - Etats-Unis à l’occasion du sommet de Bucarest ?

     

    Roland Dumas. L’annonce à grand fracas de ce sommet laisse penser que nous sommes sur la voie d’un alignement avec les Etats-Unis. C’est un changement cardinal de la politique étrangère française depuis le général de Gaulle. Tous les présidents successifs avaient veillé jusqu’à présent à ne pas modifier notre politique. Ainsi, durant la guerre du Golfe, j’ai assisté à des entretiens entre François Mitterrand et George Bush père, où le président avait insisté sur la nécessité pour la France de garder son autonomie. C’est lui-même qui a donné l’ordre aux soldats français d’attaquer au Koweït. Cela ne sera plus possible. C’est la mort du gaullisme.

     

    Pourquoi ?

     

    Si, comme on l’annonce, la France va rejoindre le commandement intégré de l’Otan, elle va perdre son autonomie d’action, à l’image de la Grande-Bretagne. Elle sera un partenaire de l’Alliance, assigné à telle ou telle mission, et elle devra s’y plier. Sa voix n’existera plus. Ce que la France a fait en 2003, lors du déclenchement de la guerre en Irak, ne sera plus possible. En vertu des accords, elle n’aura plus la faculté d’adopter une autre position que celle de l’alignement.

     

    Quelles sont les contreparties pour la France ?

     

    Celle de bénéficier de ce qui se prépare actuellement : une réorganisation de l’ordre mondial autour des Etats-Unis. Un processus dangereux qui se fera au détriment de l’Europe. A partir du moment où l’on s’inscrit dans un contexte atlantiste, à quoi bon une défense européenne ? A ce titre, il faut noter les propos ce matin (hier, NDLR) du président Bush qui a vanté chaudement la position défendue par Nicolas Sarkozy, la semaine dernière à Londres, de se rapprocher de la Grande-Bretagne. Si l’on se réfère au proverbe « dis-moi qui t’encense, je te dirai qui tu es », c’est signé.

     

    Pourtant, une majorité de Français semble hostile à cette politique...

     

    Les Français sont des gens prudents et sensés. Ils se demandent quel est notre intérêt à aller se battre en Afghanistan. Le général de Gaulle avait fondé sa politique sur un principe : « La France ne doit pas se laisser entraîner dans un conflit qui ne la concerne pas. » D’autant que durant le débat à l’Assemblée, aucune réponse n’a été donnée aux questions essentielles : combien de renforts ? Quelle mission : organiser la circulation des routes ou participer aux combats dans les montagnes ? Et surtout : quels objectifs ?

     

    Craignez-vous que la France ne soit désormais la cible du terrorisme ?

     

    C’est la question que l’on doit se poser. Nous avons réussi jusqu’à présent à ne pas être mêlés au terrorisme qui a touché la Grande-Bretagne ou l’Espagne. En allant jouer les gendarmes dans cette région tourmentée, difficile, le risque est très grand de devenir la cible des attentats.

     

    La décision du gouvernement sera lourde de conséquences ?

     

    C’est une décision totalement irresponsable. Et la responsabilité du gouvernement sera immense devant l’histoire. C’est pourquoi je veux alerter aujourd’hui les Français. Qu’ils sollicitent leurs parlementaires, qu’ils fassent pression sur eux et leur demandent pourquoi nous envoyons des renforts. Il faut que le débat public s’ouvre sur ce sujet grave.

     

    Edition France Soir du jeudi 3 avril 2008 n°19762 page 4

     

    Le président français vient lui-même d’annoncer que son pays enverra plutôt 700 soldats



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    A l'instant, je trouve ceci, sur un excellent "media" http://marcfievet.com
    ( l'Aviseur International ),
    qui éclairera notre lanterne.


    Afghanistan : Pour Fillon, une " guerre juste ", au service des Etats-Unis !

     

    Les renforts français en Afghanistan devraient être de "quelques centaines de soldats supplémentaires", a annoncé, mardi 1er avril, le premier ministre, François Fillon, devant l'Assemblée nationale. "Les modalités de cet effort ne sont pas encore arrêtées. (...)

    Le retrait des forces françaises d'Afghanistan "serait le signe que nous n'assumons plus nos responsabilités vis-à-vis de l'ONU et que nous rompons la solidarité qui nous unit à nos plus fidèles alliés", a expliqué M. Fillon. "Cette paix pour l'Afghanistan conditionne largement une part de notre sécurité, et donc de notre liberté. C'est un combat difficile, mais c'est un combat qui est juste", a souligné le chef du gouvernement.

    Il faut retenir de ce triste discours:

    -que M.Fillon, Premier ministre, ne connaît pas le nombre de soldats français qui seront envoyés en renfort. Bref, à la veille du sommet de l'OTAN à Bucarest, il n'est pas vraiment au courant, ou il a honte.

    -que la France ne peut prendre le risque "de rompre avec ses plus fidèles alliés" américains. Il faut comprendre "avec ses maîtres les plus attentifs" à ce qu'une Europe indépendante ne voit jamais le jour.

    -"cette paix pour l'Afghanistan", il faut comprendre "cette guerre contre le peuple afghan".

    -"c'est un combat qui est juste": pour qui? pour quoi? Aucune explication, et pour cause !


    inv Afghanistan: pour Fillon,

    Fillon est l'exemple parfait du politicien servile, prêt à tout et surtout au pire. Après avoir servi de giton à son défunt maître Joël Le Theule dans la Sarthe, cet homme sans convictions et sans idées, mais avec une ambition, après avoir beaucoup rampé et s'être beaucoup renié pour avancer, est devenu le valet zélé de la politique nauséeuse du nabot élyséen. Belle carrière! Félicitations François! Un Premier ministre à la mesure dela France...
    http://toutsaufsarkozy

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    D'après un sondage BVA publié aujourd'hui dans Sud-Ouest, plus de deux Français sur trois (68 %) sont opposés à l'envoi de renforts français en Afghanistan.
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    FILLON, MENTEUR DE PROFESSION:


    "La France n'a rien payé" au Tchad, assure François Fillon le 1er avril.


    "Il est hors de question que le contribuable français paie six millions d'euros pour des erreurs que la France n'a pas commises", déclare le Premier ministre, au lendemain de la libération d'Eric Breteau et de cinq autres membres de l'association, condamnés en décembre dernier à N'Djamena à huit ans de travaux forcés pour tentative d'enlèvement de 103 enfants.

    Le 2 avril:
    Selon un courrier du gouvernement tchadien en date du 28 décembre 2007, que Le Figaro s'est procuré, Paris se serait engagé à garantir le paiement des 6,3 millions d'euros aux parties civiles tchadiennes.

    //www.lefigaro.fr/assets/photo/scan_zoe.jpg

    Notre article:

    http://www.toutsaufsarkozy.com/cgi-bin/cogit_content/coranto.cgi?session=ctadcudaitSaBjqYVk&x=78&action=modify-edit&nid=EkpyAZZFFkVmVmpLBj

     

     

     

    Notes :


    Quand Sarkozy voulait se retirer d'Afghanistan, le 26 avril 2007, ce n'est pas vieux !


    http://www.lepost.fr/video/2008/04/01/1175560_afghanistan-quand-sarkozy-jugeait-la-presence-militaire-francaise-

    pas-decisive.html



    Afghanistan : «Notre pays devient le petit soldat de l'Amérique»


    Interview de Nicolas Dupont-Aignan,

    député indépendant,
    à l’occasion du débat parlementaire, le mardi 1er avril, sur l’engagement militaire de la France en Afghanistan.


    Nicolas Sarkozy souhaite renforcer la présence militaire française en Afghanistan. Y êtes-vous favorable?


    Non, l'Afghanistan est un bourbier militaire. Tous les chefs d'Etat-major étrangers s'accordent à dire que la manière dont les Etats-Unis mènent la guerre conduit à l'échec. Et fait le jeu des talibans. Nicolas Sarkozy ne peut pas ne pas le savoir. Il s'agit donc d'une décision politique dont le seul objectif est de donner des gages aux Etats-Unis avant le sommet de l'Otan de Bucarest. Il s'agit d'un contre-sens historique majeur qui rompt avec 50 ans de politique étrangère indépendante de la France. Notre pays devient le petit soldat de l'Amérique. L'Allemagne, plus sage, refuse, elle, cette aventure militaire qui nous mène au casse-pipe. Nous avons besoin au contraire d'une politique de défense européenne indépendante dans un monde qui devient multipolaire. Il nous faut nous détacher de l'Otan, renforcer nos relations avec la Russie et éviter le choc des civilisations.


    Il existe une réelle présence de réseaux terroristes en Afghanistan. Que préconisez-vous donc pour les combattre ?


    Il faut un mini-plan Marshall pour l'Afghanistan et non pas une armée d'occupation. Des crédits sont nécesssaires pour assurer le développement. Sur le plan militaire, il faut une armée beaucoup plus en liaison avec la population et qui cesse de soutenir les seigneurs de la guerre. De surcroît, la situation aujourd'hui se joue davantage au Pakistan qu'en Afghanistan. Les Etats-Unis, trop occupés en Irak, ont échoué à aller jusqu'au bout de la mission que leur a confiée l'ONU: remettre sur pied l'Afghanistan.


    Cela signifie-t-il que vous êtes favorable à un désengagement définitif de l'armée française?


    Non, il faut trouver un juste milieu et organiser une conférence internationale. Mais, en tous les cas, ne prenons pas d'initiative avant de savoir qui sera le prochain président américain. Nicolas Sarkozy doit cesser de s'aligner sur les positions de monsieur Bush.



    'Le Président n'est que l'incarnation de la dissolution' de l'Etat"


    Invité de l’émission Sous les pavés, La télé libre le 3 mars 2008 , Jacques Attali a confirmé ce que les souverainistes ne cessent de déplorer en particulier depuis Maastricht : le Pouvoir n'a plus le pouvoir : "Sur la fonction [de Président de la République]qui s’abîme, c’est évident. Elle s’abîme institutionnellement. Si vous regardez le président actuel, il a perdu au moins six des pouvoirs deFrançois Mitterrand : Il n’y a plus la monnaie, donc la dévaluation ça n’existe plus. Il n’y a plus les nationalisations, il n’y a plus la politique industrielle. La globalisation fait que tout le monde est maître de ce qui se passe en France. La décentralisation a fait perdre l’essentiel des pouvoirs de la France. L’UnionSoviétique ayant disparu, le grand pouvoir de thaumaturge du Présidentde la République qui était le droit de vie ou de mort [via la bombeatomique] a disparu, et enfin la construction européenne." Et l'ancien conseiller de François Mitterrand, auteur des "316 propositions" commandées par le Président Sarkozy, de conclure : "Progressivement,l’État s’est dissous dans la réalité de la globalisation.

    Le Président n’est que l’incarnation de cette dissolution, quel qu’il soit." Jean-Yves Crevel (Decapactu) s'interroge : Pourquoidans ces conditions, réunir une commission de 43 "experts", si c’estpour conseiller quelqu’un qui n’a plus aucun pouvoir ? Pourquoi intimer à ce même Président - réduit à l’impuissance - de mettre enœuvre l’ensemble de ces "propositions" dont la ligne directriceconsiste à faire disparaître les spécificités françaises pour en faireune société anglo-saxonne de plus ? Commentprétendre que ces propositions pourraient avoir le moindre impact surla croissance si celui qui devrait les mettre en œuvre ne serait qu’unectoplasme " incarnation de cette dissolution", démuni de tout réel pouvoir ? Et d'esquisser la réponse suivante :

    Pour duper les Français par la mise en scène du pouvoir factice et, parallèlement, contribuer - modestement ou non - à accélérer la dissolution précitée
    .




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    Sarkozy :  " ce serait une tragédie humaine, si je ne pouvais ramener, au moins, le corps de la milliardaire  Ingrid betancourt " !



    Le  nabot continue à amuser la galerie avec l'affaire de la pauvre milliardaire colombo-française Ingrid Bétancourt. Un sujet inusable pour détourner l'attention des Français. "Une véritable tragédie humaine" on vous dit! A voir et à entendre le gouverneur s'agiter sur ses talonnettes, Uribe, les Farc et la CIA sont pliés en deux de rire. Ils vont bien finir par nous restituer les restes! Bon appétit les media (et en particulier Paris-Match)!


    Voir la dernière intervention désopilante de Sarko:

    http://www.lemonde.fr/web/video/0,47-0@2-3222,54-1029896,0.html



    Notre article du 29 février 2008:
    Il faut bien que quelqu'un le dise...alors: Ingrid Betancourt nous fait chier, et Sarkozy encore plus!


    De plus en plus de Français pensent que l'on devrait balancer Sarkozy au dessus de la forêt colombienne sans parachute et nous lâcher un peu la grappe avec la milliardaire colombienne Bétancourt dont on ne voit pas très bien le rapport avec l'état de la France et les préoccupations réelles de ses habitants. Depuis des mois maintenant, une véritable entreprise de sidération et d'abêtissement compassionnel des populations se poursuit au travers des grands media, en particulier télévisuels. Dans quel but? En quoi cette triste affaire concerne-t-elle l'Etat français? N'est-ce-pas curieux à l'heure où des centaines de femmes, d'hommes et d'enfants meurent sous les bombes et les balles d'Israël et des Etats-Unis?


    Il s'agit simplement d'une nouvelle manifestation, mais qui dépasse cette fois toute mesure, de cette "démocratie compassionnelle" développée sans relâche pour faire oublier à nos concitoyens les problèmes qui les préoccupent réellement, d'une manière quasi scientifique de détourner le plus longtemps possible leur attention sur un sujet en réalité parfaitement anecdotique. Comme "Survivre avec les loups", il s'agit d'une véritable escroquerie aux "bons sentiments" par "lacrymalisation", ou "vaporisation" comme le dirait, avec compassion Rama Yade-Ben Zimet (à propos des SDF)...


    Nous souhaitons donc que le nabot parte effectivement en Colombie à la recherche de cette milliardaire colombienne sub-claquante, et qu'il y reste définitivement par les bons soins du camarade Manuel Marulanda Velez, qui, comme chacun le sait, est aussi un peu canibale!


    "Alors que quatre nouveaux otages des Farc ont été libérés mercredi , la France intensifie ses efforts pour obtenir la libération d'Ingrid Betancourt. Le Président français, en visite officielle en Afrique du Sud, a réagi aux nouveaux témoignages alarmants sur l'état de santé d'Ingrid Betancourt , otage des Farc depuis plus de 6 ans dans la jungle colombienne.


    "J'appelle les Farc à libérer sans délai Ingrid Betancourt, c'est une question de vie ou de mort. C'est une question d'urgence humanitaire. Je suis prêt à aller moi-même chercher Ingrid Betancourt à la frontière entre le Venezuela et la Colombie, si ça devait être une condition. La France reste mobilisée jusqu'à la sortie du dernier otage, je m'y engage. Il faut qu'on arrive à la faire libérer", a insisté le chef de l'État.
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    A lire absolument:
    "L'homme compassionnel" de Myriam Revault d'Allonnes aux éditions du Seuil, 10€ seulement.

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    Notes : Voir aussi notre article du 6 mars 2008:
    Comment la Dgse, avec ou sans l'aval du nabot, a sacrifié Betancourt pour monter une provocation contre le président Hugo Chavez.


    Vous trouverez ci-dessous un article fort intéressant de Danielle Beltraich qui apporte un éclairage assez juste sur cette affaire (puisqu'elle est en rapport avec des proches du président Chavez).
    En réalité, selon nos propres sources, ce sont bien les services américains qui ont localisé précisément Reyes, mais sur la base d'une information donnée par un membre de la Dgse délégué auprès de l'équipe spéciale mise en place par le président Chavez. Celui-ci connaît parfaitement les accointances américaines de Sarkozy mais a crû, avec hélas une certaine naïveté, que la volonté du nabot de réussir un coup purement politicien à usage interne, en ramenant, "triomphalement", la milliardaire colombienne, lui ferait oublier qu'il a été commandité pour servir avant tout les intérêts de l'empire. Les gens de Sarkozy sur place sont là prioritairement pour faire tomber Chavez dans le piège d'une réaction militaire provoquée contre la Colombie. Or, attaquer la Colombie, c'est attaquer les Etats-Unis, avec les conséquences que l'on imagine pour le régime d'Hugo Chavez. A l'heure qu'il est, Bétancourt est très probablement morte.
    VL
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    Il est clair que la Colombie et les Etats Unis ont beaucoup de mal à expliquer qu’il y aurait connivence entre Chavez , Correa et les FARC pour pratiquer le terrorisme international. D’abord parce que d’autres pays étaient impliqués non seulement la France mais, les Espagnols et les Suisses. Nous allons voir jusqu’à quel point. Et d’autre part la thèse de la lutte contre le terrorisme international, qui justifierait tout de la part des Etats-Unis, a du mal à passer dans le continent d'Amérique latine. Ce sous continent ne cesse de subir le terrorisme d’Etat des Etats-Unis, qui soit directement, soit par le biais d’hommes de main qu’ils protègent comme Poasada Carriles, assassinent des hommes d’Etat, destabilisent des gouvernements élus et installent des assassins formés à leur école.


    Il faut bien mesurer que ce qui s’est passé en Equateur a soulevé l’indignation générale .En France, les média aux ordres ont bien tenté de faire porter le chapeau de la crise andine à Chavez, aux FARC ou à tout autre victime (1) mais de toute la planète est venue la réprobation. Les Etats-Unis paraissent bien isolés avec leurs alliés criminels et voyous .


    Notre presse servile tente encore de nous cacher ce qui paraît de plus en plus évident: il y avait des négociateurs français à proximité de Reyes, ils préparaient la venue de Sarkozy....
    la suite
    :


    Sarkozy: "Ce serait une tragédie humaine si je ne pouvais ramener, au moins, le corps de la milliardaire Bétancourt!"


    http://www.marcfievet.com/article-18401760.html


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    Non à la sanction politique qui frappe Bruno Guigue !

     

    Le gouvernement a limogé brutalement un sous-préfet, M. Bruno Guigue, coupable à ses yeux d’avoir écrit quelques vérités sur l’occupation des territoires palestiniens par Israël. Ce faisant, il n’aurait pas respecté le "devoir de réserve", a indiqué à la presse Madame Alliot-Marie.

     

    L’intéressé ne s’est pourtant pas exprimé en sa qualité de sous-préfet, il n’a livré aucun secret professionnel, il n’a pas mis en cause la sécurité de l’Etat. Il a écrit, en tant qu’analyste et écrivain, un papier sur le site « oumma.com » en réaction à un article paru dans « Le Monde » dans lequel les auteurs condamnaient violemment l’ONU accusée par eux de mettre en cause, ni plus ni moins, les droits de l’homme. Dans sa démonstration, M. Guigue a « osé » parler d’un aspect du vrai visage de l’occupation israélienne. Les réalités dénoncées par Bruno Guigue sont des faits établis, connus de tous. (NB Eva, confirmé par un témoin de ces atrocités, qui m'a écrit, voir commentaires ajoutés récemment)

     

    « L’obligation de réserve » invoquée pour le limoger sur le champ est en outre un concept à géométrie particulièrement variable. Régulièrement en effet des hauts fonctionnaires expriment des opinions politiques sur Israël sans pour autant être l’objet de sanctions. Mais toute la différence tient en ce que leurs propos viennent en soutien à des actions de cet Etat pourtant tenues hors la légalité internationale.

     

    Monsieur Bruno Guigue est donc l’objet d’une décision clairement politique.

     

    Et au travers le cas du sous-préfet de Saintes,

    le gouvernement souhaite aussi faire un exemple destiné à intimider l’ensemble de la fonction publique.

    Aujourd’hui, c’est la situation de Bruno Guigue qui est en jeu mais c’est aussi l’avenir de tous qui se joue. Ne pas réagir, nous ferait assumer la responsabilité de jours encore plus sombres demain.

     

    C’est pourquoi nous exprimons notre solidarité à Bruno Guigue, nous saluons son courage, et nous nous élevons contre la sanction prise à son encontre car elle est de nature politique tandis que ses propos sont salutaires. C’est pour nous une façon d’exiger qu’en la matière, comme en d’autres, il ne saurait y avoir en aucun cas de politique dite du "deux poids, deux mesures".

     

    Pour signer la pétition :
    Pétition de soutien à Bruno Guigue
    http://www.verites.org/article-18374478.html

    Eva : c'est moi qui ai souligné en bleu.

     

    ________________________________________________________________________________________

    A lire aussi :
    Discrédit sur la fonction présidentielle :
    http://www.verites.org/article-18373185.html

     

     

    08:12 From: simonnns

    Un bêtisier sur les chats


    F U N  !


    votre commentaire
  •  
     
    Mardi 1 avril 2008

     



     




    Bonjour

    L'affaire des " camps de concentration américains " m'a beaucoup interpellée.  Journaliste attachée à la véracité des faits, d'une honnêteté scrupuleuse et refusant tant les nouvelles à sensation que la propagande de la pensée Unique Libérale (que je dénonce par ailleurs dans mon autre blog sur la désinformation), j'ai donc mené mes propres investigations.

    Au point où j'en suis, voici ce que j'ai trouvé, un document en Anglais, et un autre en Français. En l'état actuel des choses, dans le climat d'angoisse  qui est celui de la société actuelle, soigneusement entretenu par Big Brother pour justifier ses lois liberticides et sa politique de contrôle et de domination, il semblerait que l'on ait tendance à amplifier la menace immédiate des camps de concentration.

    En effet, des plans de sortes de camps de détention capables d'accueillir des milliers de personnes en cas de crise majeure ont été conçus par la Défense Américaine sous couvert de Protection civile - mais depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. A l'heure actuelle, il y aurait plus de six cents camps d'internements civils répartis aux quatre coins des Etats-Unis.  Et ces camps rappellent ceux de sinistre mémoire, avec leurs miradors, de bien curieux wagons, et des voies ferrées qui y conduisent.

    Certes, bien que gardés en permanence par du personnel militaire,  ils sont vides. Mais ils sont destinés à servir. Quand on connaît la conjoncture actuelle, et l'état mental des dirigeants américains, on peut se poser toutes sortes de questions. La crise financière,  la nature du régime actuel,  plus fasciste que démocratique,  ou le fanatisme borné du Président et de la clique qui l'entoure, laissent présager le pire.

    Tout ce que nous pouvons faire, c'est rester en alerte. Et nous renseigner à des sources fiables, naturellement sans faire confiance aux médias français, au service des marchands de canons qui les possèdent et du système Libéral Financier qui sévit sur la planète.


    Eva


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    http://www.issuesandalibis.org/campsd.html



     

     

     


     

     

    Wondering how you and your family were going to get to camp? Right now the only way that the government will cop to is J.P.A.T.S. We'll explore other possibilities including white boxcars, buses and such but first...

    In 1995, the air fleets of the Marshals Service and the former Immigration and Naturalization Service (INS) merged to create the Justice Prisoner and Alien Transportation System (JPATS). The merger created a more efficient and effective system for transporting prisoners and criminal aliens.. JPATS is one of the largest transporters of prisoners in the world - handling hundreds of requests every day to move prisoners between judicial districts, correctional institutions and foreign countries.

    (..)


    In addition to JPATS the CIA has a fleet of Gulfstream V's for secret kidnappings!

     

     Alternative Transportation

     

    (..) Along with this comes tales of UN or NATO troops currently training on US military bases to help US troops with rounding up all us liberals and other trouble makers. In addition to the above mentioned JPATS this group includes enough "special" white and black boxcars to hold 15 million US citizens plus another 20,000 boxcars we bought from China. Not to mention "white buses" and trucks pulling portable jails beyond that point it gets down right silly. Still considering what we've witnessed as well as what the US government has done to people in the past this is something you should at least be aware of. To see a satellite imagine of a prisoner train complete with white box cars go to Google Maps and put in the code: 48.238048,-113.530778 you can't go above the second click down.

    OREGON

     

    TEXAS

    a. Gunderson Steel Fabrication holds the federal contract for the 100,000+ shackle-mounted boxcars.

    b. In 2000, BUSH as candidate makes his way to VISIT Gunderson Steel Fabrication, (ostensibly (alibi) to give a t.v. speech about social security. Why a speech on social security had to be conducted from a shackled-boxcar manufacturing site, only Bush will know for sure...) "...Gunderson Steel Fabrication is under secret contract from the U.S. government to produce these prisoner boxcars. The company received an order from the federal government to build 107,200 full length railroad boxcars with the shackles inside. Gunderson has a satellite factory for making the boxcars with shackles in Texas. Interestingly, Gunderson became the launching pad where then-presidential candidate Governor George W. Bush introduced his plan for social security reform on May 16, 2000, a major part of the current president's platform. Apparently, Mr. Bush has some special personal relation with Gunderson."

    c. 11 SUBCONTRACTORS IN SHACKLED-BOXCAR CONSTRUCTION PROJECT: Quotes taken from a lecture given by the late Philip Schneider, ex-NATO geologist who gave up his 1 million dollar a year retirement salary, who has blown the whole New World Order wide open. He is assassinated less than one year after he started talking, after many failed attempts to 're-hire' him. He was told he was doing 'irrevocable' damage to the New World Order by US intelligence agents who visited him in his Portland, Oregon apartment. "

    d. PLUS, SHACKLED-BOXCARS ARE BEING SHIPPED IN FROM THE WORLD'S LARGEST POLICE STATE, CHINA:

    (..)

    e. NORTH AMERICANS, CANADA AND THE USA, MEET YOUR IMPORTED CRACK TEAM OF OCCUPATION TROOPS, ALREADY WELL TRAINED: INTERVIEW WITH SOME GERMAN NATO M.P.s who verify they were trained for future American marshal law plans. They mention German troops stationed in USA at Fort Bliss, Texas and Holloman AFB (New Mexico). These troops are formally associated with NATO, which has morphed in the past 10 years to become your (un)friendly post Cold War pre-emptive internationalized Nazi-esque attack organization, responsible for attacking Yugoslavia (illegal, under its own charter), and culpable in Iraq in 2003. They describe their training, and, they refuse to answer some pointed questions about whether they would fire to kill on American citizens. To this question, they refuse to answer this by losing all eye contact with the interviewer, cutting off the interview, getting gruff and stiff, turning, and simply walking off.

    MONTANA:
     
    (..)
     
    NEW HAMPSHIRE:

    (..)

    NORTH CAROLINA:

    "Reports from our sources also confirm that railroad boxcars fitted with shackles have been spotted in many locations throughout the U.S. in recent months, most prominently in Montana and Texas "

     


     

    Justice Prisoner & Alien
    Transportation System (JPATS)

     


     

    Email: issues@issuesandalibis.org


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    Les projets obscurs de la FEMA


    Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la défense américaine, sous couvert de ses services de protection civile, conçoit des plans militaires dont certains prévoient des systèmes de camps de détention en mesure d’accueillir des milliers de personnes en cas de crise majeure. Parallèlement, de nombreuses lois liberticides ont régulièrement été promulguées par les présidences américaines successives. Quelle est la raison d’être de ces camps ? Le gouvernement américain est-il en passe de devenir un Etat police dirigé par une dictature militaire ? Karmapolis fait le point sur ces programmes obscurs de gestion des masses.

     

    Nous aimerions croire que les camps de concentration font partie d'une sombre page de notre histoire. Que, depuis bien longtemps, il n’y a plus de place pour les dictateurs dans nos sociétés occidentales. Que nous sommes à l'abri des extrêmes. Mais les erreurs d’hier pourraient bien se reproduire aujourd’hui. En témoigne cette affaire, documentée, qui rapporte l'existence de plus de 600 camps d'internements civils disséminés aux quatre coins des Etats-Unis. Des camps entourés de miradors. Des camps desservis par des voies ferrées, par la route et parfois même par un aéroport. Des camps vides, mais gardés 24h sur 24h par du personnel militaire. Des camps qui abritent des wagons ressemblant étrangement à des convois de déportation. Des camps dormants qui se languissent d'accueillir, mais d'accueillir qui?  Et pourquoi ?

     

    Des photographies et des films circulent sur Internet. Des témoins décrivent ce que les activistes tendent à considérer comme de véritables sites concentrationnaires. Certains n'hésitent  pas à les comparer aux tristement célèbres camps nazis. Un film (1) tourné à Beach Grove dans l'état d'Indiana montre l’un d’eux. La voix off décrit : « Nous nous trouvons dans un immense parking. Nous sommes entourés d’une clôture dont la partie supérieure est coiffée de fils barbelés. Sur le toit du bâtiment opposé se trouve une caméra de surveillance dirigée sur le parking. (.) A côté, il y a un accès direct à la voie ferrée, elle-même « contenue » entre deux clôtures. Un train en dépôt arbore les inscriptions « US Army ». Une multitude d’entrepôts sont visibles de l’autre côté du parking. Ce site est supposé avoir été fermé en 1993 afin d’être rénové... Les manches à air et les marques au sol sont présentes partout sur le site. Un seul petit bâtiment permet d’entrer dans la zone protégée. (NDA : l’équipe entre). Ici, à l’intérieur, regardez mieux les tourniquets. Ils sont activés électroniquement.  Ce sont des barreaux de prisons (NDA, c’est un système d’accès au compte-goutte). Les travaux de rénovations qui ont été effectués consistent en l’installation de miradors, de tourniquets électroniques et des revêtements en béton. En outre, des lieux n’ayant jamais été chauffés ces 20 dernières années bénéficient maintenant de chauffages. La partie supérieure des miradors est courbée vers l’intérieur afin d’empêcher les gens de sortir. A côté de la voie ferrée, entre les clôtures, sur les quais, il est indiqué « Red Zone » et sur la clôture sont attachés de petites pancartes numérotées et séparées les unes des autres par intervalles courts et réguliers comme s’il était prévu d’y  aligner des personnes à la sortie d’un wagon. La présence des manches à air confirme qu’il faut s’attendre à un trafic aérien soutenu sur toute la zone. Et là haut, se trouve une imposante antenne radio. Plus loin, dans la zone des entrepôts, il y en a un dont l’entrée est visible, là aussi, le tourniquet constitue le seul accès vers l’intérieur. Toutes les fenêtres et les portes des entrepôts ont été condamnées et à l’extérieur, de toutes nouvelles conduites de gaz ont été construites. Regardez, tandis que nous filmons, un hélicoptère noir vole au-dessus de nous, il observe ce que nous faisons. Les lignes et les conduites de gaz courent tout le long des bâtiments et aboutissent dans de grands fourneaux. On trouve pas mal d’équipements de l’armée ici. On a aussi observé des zones référencées « Green zone » et « Blue zone », chacune très grande et capable de détenir beaucoup de personnes. Les voies ferrées ont été complètement refaites par endroits. Une grande tour de contrôle domine le camp et quatre haut-parleurs y sont accrochés. »

     

    Derrière ces camps se dresse la FEMA (Federal Emergency Management Agency), l’agence gouvernementale chargée de la prévention et de la gestion des catastrophes naturelles. Depuis le début des années 80, celle-ci a connu de nombreuses transformations significatives qui ont fait d’elle une institution aujourd’hui incontournable en matière de gestion des urgences. Bien qu’elle ait été créée pour protéger les civils des catastrophes naturelles, sa mission, maintes fois redéfinie par le gouvernement, se concentre à l’heure actuelle sur la prévention des risques liés au terrorisme. Les changements d’objectifs survenus au fil de l’existence de l’agence ont permis de loger protection et défense civiles à la même enseigne. Une alliance consolidée par l’intégration de la FEMA au nouveau Département de la Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security) créé en 2003 par l’administration Bush.
    La gestion des urgences est un créneau derrière lequel se profilent beaucoup de possibilités. En effet, quelque puisse être la nature de l'urgence, la menace qu’elle entraînerait pour la continuité du gouvernement américain justifierait la déclaration de la loi martiale qui, elle-même, propulserait la FEMA à la tête du pays. Une fois le gouvernement provisoire instauré, les lois d’exception seraient activées, ainsi que les programmes impliquant les camps d’internements civils. La planification du fonctionnement de l'Etat en cas de crise nationale dépend donc de toute évidence d'une stratégie qui, dans ce cas-ci, a été élaborée dans le cadre d'un plan militaire bien ficelé.

     

    Un plan pour contrôler les masses et emprisonner les dissidents

     

    Les camps de concentration n’ont jamais cessé d’exister. L’idée fut d’abord naturellement importée outre-Atlantique. En effet, après la Seconde Guerre Mondiale, le Congrès américain ratifia un système de camps de détention qui faisait partie du Internal Security Act de 1950, une loi prévue pour lutter contre l’infiltration des communistes aux Etats-Unis. Ce système fut repris par la FEMA lors de sa création en 1979 et ensuite par le Département de Sécurité Intérieure en 2003. Les premières unités furent établies dans le cadre du plan d’urgence Security Portfolio qui, mis en œuvre, permettait au Président Truman de suspendre la Constitution et au FBI d’arrêter jusqu’à 20.000 personnes destinées à être placées en détention sans passer par la case procès.  Le FBI était également en charge d'établir les camps et de dresser des listes de surveillance reprenant les noms d'individus considérés dangereux pour la sécurité intérieure du pays. Depuis, les plans auraient mûri et les listes auraient été mises à jour.  

     

    Il faudra attendre 1987 pour que l’existence des camps soit portée à la connaissance du public. Cette année-là fut marquée par le scandale IRAN-CONTRA, une sombre affaire de vente d'armes à l'Iran dont les profits furent utilisés pour financer illégalement les Contras, une organisation terroriste de droite au Nicaragua. Une Commission d’enquête fut établie. Sur le banc des accusés se trouvait le Colonel Oliver North, un personnage clé dans l’affaire qui nous intéresse puisqu’il était l’architecte d’un plan militaire de défense civile, le plan Rex 84, commandé par nul autre que le directeur de la FEMA, Louis Giuffrida.

     

    Rex 84 était une initiative conjointe de la FEMA et du Département de la défense qui mettait en scène une agitation civile conduisant à une situation d’urgence nationale. En 1984, durant des exercices de simulation, les militaires furent habilités à déclarer la loi martiale et à mettre en place un gouvernement accrédité pour ordonner des mouvements de population tant au niveau régional que national. Cette mise en situation prévoyait l’emprisonnement de 400.000 personnes et leur déportation dans des camps d'internements. A l'époque, les artisans de Rex 84 invoquent le danger d'une traversée massive de réfugiés en provenance d’Amérique centrale ou du Mexique. Cependant, cette version dissimule un plan obscur visant la détention de dissidents politiques étasuniens et dont la particularité est de fonctionner grâce à une série de lois d'exceptions émises entre 1969 et 1984. Ces lois fournissent tous les ingrédients à la mise en place d'une dictature : suspension de la Constitution, augmentation de la surveillance des citoyens et limitation de leur liberté de mouvement, enregistrement de tout homme, femme et enfant, saisie des propriétés individuelles, organisation et contrôle des moyens de production et des flux financiers, rappel des forces  militaires détachées, saisie et contrôle de tous les moyens de transport, régulation des entreprises privées et limitation des voyages. A ces éléments s'ajoute une autre loi stipulant cette fois qu'en cas d'urgence nationale, le Congrès ne peut intervenir sur les affaires d’Etat durant les 6 premiers mois.

     

    Ces 12 dernières années, plusieurs contrats de construction de camps de détention ont été signés entre le gouvernement américain et diverses entreprises. Le prétexte d’une arrivée massive de réfugiés en provenance des pays limitrophes des Etats-Unis semble bien fonctionner puisqu’il reste une excellente façon de justifier lesdits contrats. 

     

    Contrats juteux dans l’industrie de la construction

     

    Début 2006, la presse américaine annonce que Kellogg Brown & Root, une filiale d’Halliburton, un groupe de bâtiments et travaux publics, a obtenu un contrat de 385 millions de dollars avec L’Armée de Corps des Ingénieurs, un montant destiné à la construction de camps de détentions. Dans le New York Times, Jamie Zuieback, la porte-parole de l’Immigration et du Renforcement des Douanes déclarait à ce sujet : « c’est le genre de contrat qui pourrait être utilisé dans une sorte d’immigration de masse ». Et d’ajouter que Kellogg Brown & Root ne construirait les centres qu’en cas d’urgence extrême telle qu’une arrivée massive de Cubains sur le territoire américain. Elle soulignait par ailleurs que les camps ne seraient peut-être d’ailleurs jamais construits si la nécessité ne se présentait pas. Pour Clayton Church, porte-parole de l’Armée de Corps des Ingénieurs la question était claire : « si des clandestins arrivent massivement aux Etats-Unis, comment allons-nous les nourrir, les loger et les protéger ?  C’est pour cela que ces contrats existent ». Selon lui , les centres pourraient être d’anciens sites militaires inutilisés ou des structures temporaires d’une capacité de 5000 personnes par  unité. A noter que Kellogg Brown & Root avait, d’une part, bénéficié d’un contrat similaire pour la période 2000-2005 et, d’autre part, d’un contrat visant la construction d'unités pénitentiaires en Afghanistan et en Irak.

     

    Quelques années auparavant, Phil Schneider, un ancien ingénieur du gouvernement impliqué dans l’élaboration de bases militaires souterraines secrètes, attirait déjà l’attention de son public sur l’existence de ce type de contrat. En effet, peu avant sa mort, lors d’une conférence tenue en mai 1995 à Las Vegas, il expliquait avoir rencontré un employé de la Gunderson Steel Fabrication, une entreprise spécialisée dans la construction de trains et de voitures ferroviaires : « Un jour, il vint me voir, très perturbé en m'affirmant "qu'ils construisaient en fait des wagons pénitentiaires ". Il était nerveux. Gunderson, affirma-t-il, a un contrat avec le gouvernement fédéral qui prévoit de construire près de 107.200 wagons de transport de prisonniers tout équipé chacun de 143 paires de menottes. Il y a en fait 11 sociétés sous-traitantes dans ce gigantesque projet. Gunderson a probablement reçu une somme de 2 milliards de dollars pour ce contrat. Les aciéries Bethlehem ainsi que d'autres fournisseurs sont impliqués dans cette affaire. Cet homme m'a montré l'un de ces wagons de transport de prisonniers qui était stationné sur une voie de service au nord de Portland. Il avait raison. Si vous multipliez 107.200 par 143 et par 11, vous obtenez un chiffre avoisinant les 15 millions. Ce chiffre correspond sans doute au nombre d'individus qui entreront en dissidence avec le gouvernement fédéral. (…) Je crois aussi que le gouvernement américain mène une véritable stratégie afin de mettre en esclavage le peuple américain. Je ne suis pas un très bon orateur et je ne me tairai que lorsque l'on me tirera dessus car il me semble indispensable de révéler (…) l'existence de ce genre d'atrocité. »

     

     
    Le gouvernement fédéral américain est suspecté d’avoir commandé la construction de plus de 100.000 wagons de transport de prisonnier dont la finalité reste mystérieuse.
     
    Issues and Alibi

     

    Selon tbrnews.org, il semblerait que le Département de la Sécurité Intérieure ait également commandé à la société israélienne Israeli Prison Systems, la construction de 110 camps d’internement dans des régions inhabitées des Etats-Unis, ainsi qu’en Alaska. En juin 2007, l’entreprise israélienne aurait eu fini de construire 65 camps s’ajoutant aux 600 déjà existants. Cette information reste difficile à vérifier. Néanmoins Naomi Klein, une journaliste activiste indépendante, a écrit : « Gaza, plus qu’une prison, un laboratoire pour un monde-forteresse (2) », un article qui démontre qu’Israël utilise la population palestinienne entière pour mettre au point son industrie d’équipement de sécurité destinée à être vendue dans le monde entier. Ces révélations confirment l’éventualité d’un lien contractuel entre le gouvernement américain et Israeli Prison Systems.

     

    Le tableau se complète peu à peu : il existe donc des contrats pour construire des camps de détention et un plan militaire pour les faire fonctionner. Existe-t-il des camps actifs ? En fait, dans une certaine mesure, les camps de détention des prisonniers de guerre actuellement utilisés à Guantanamo par exemple sont de type concentrationnaire. Ceux-ci donnent d'ailleurs un aperçu du comportement des militaires lorsque carte blanche leur est donnée.

     

    Abou Ghraib et Guantanamo, des modèles pour la FEMA ? 

     

    Les associations de défense des droits de l'homme se sont régulièrement insurgées ces dernières années contre les conditions de détention des prisonniers de guerre dans les centres pénitenciers américains.

     

    Début 2004, des photos prises par des soldats américains dans la prison d'Abou Ghraib, située en Irak créent le scandale. La presse internationale diffuse les images de prisonniers torturés, attachés par des câbles électriques, obligés de poser nus et menacés par des chiens de garde. Dans un rapport publié la même année, Amnesty international dénonce : « Les exactions ne se sont pas produites seulement à Abou Ghraib. De nombreuses personnes détenues sur les bases aériennes de l’armée américaine à Bagram et Kandahar en Afghanistan ont déclaré avoir été soumises à des actes de torture et d’autres traitements cruels, inhumains ou dégradants lors de leur détention ; l’administration américaine n’a pas non plus respecté les Conventions de Genève en ce qui concerne les détenus de Guantánamo. (…) Cette personne n’a montré aucune surprise face aux informations en provenance d’Irak et a expliqué que les violences physiques en Afghanistan semblaient faire partie du processus de préparation des détenus aux interrogatoires et à la détention. (…) Parmi les exemples cités, on a noté des coups de pied et de poing donnés aux détenus ; le fait de sauter sur leurs pieds nus ; de forcer les détenus à prendre diverses positions sexuelles explicites pour les photographier ; de faire monter un détenu entièrement nu sur un carton, un sac de sable sur la tête et d’attacher des électrodes à ses doigts, à ses doigts de pieds et à son pénis pour mimer la torture électrique ; de mettre un collier de chien ou une laisse au cou d’un détenu entièrement dévêtu et de le prendre en photo avec une femme soldat posant près de lui. »

     

    Le journal Le Monde publiait, en octobre 2004, le témoignage de la dernière femme du camp d’Abou Ghraib, Houda Al-Azzawi, une femme d’affaire irakienne : "Je suis arrivée à Abou Ghraib le 4 janvier 2004. On m’a donné le matricule 156283 et une cellule de 2 m-. J’y ai passé 197 jours et subi trente interrogatoires. (…) Le scandale des photos d’Abou Ghraib, je ne l’ai appris qu’à ma sortie. Elles n’ont pas été prises dans notre section, mais nous avons tous été témoins de scènes similaires, ou pires. J’ai vu des hommes à qui les soldats faisaient rentrer de force des bouteilles d’eau dans le derrière."

     

    Le Président Bush déclarait 2 ans plus tard que la prison d'Abou Ghraib était la plus grosse erreur des Américains en Irak. Onze soldats furent jugés et condamnés, mais étonnement tous les hauts gradés furent blanchis.

     

    Au sortir de Guantanamo, les témoignages se succèdent aussi. Le rapport d’Amnesty International sur un ex-détenu est représentatif du modus operanti de l’armée américaine : « Sami al Hajj a été détenu au Pakistan du 15 décembre 2001 au 7 janvier 2002. Son passeport lui a été confisqué, ainsi que sa carte de presse et son visa pour le voyage en Afghanistan. Le 7 janvier, il a été remis aux autorités des États-Unis qui l’ont transféré à la base étasunienne de Bagram en Afghanistan. Sami al Hajj a décrit les seize jours de détention qu’il a passés à la base de Bagram comme les pires de sa vie. Il a, dit-il, été violemment torturé, agressé par des chiens, enfermé dans une cage placée dans un hangar à avions glacial ; les rations alimentaires étaient insuffisantes et la nourriture était souvent gelée. Il a ensuite été transféré à Kandahar où les sévices ont continué. Sami al Hajj décrit comme suit les traitements qu’il y a subis : Il a été agressé sexuellement par des soldats étasuniens, qui ont notamment menacé de le violer. Il a été contraint de garder des positions douloureuses forcé de rester agenouillé sur des sols en ciment pendant de longues périodes. Il a été régulièrement roué de coups par ses gardiens. On lui a arraché un à un tous les poils de sa barbe. Il n’a pas été autorisé à se laver pendant plus de cent jours et il était couvert de poux. Sami al Hajj a été transféré à Guantánamo le 13 juin 2002. Pendant toute la durée du vol il est resté enchaîné, bâillonné, la tête recouverte par une cagoule. S’il s’endormait les soldats le frappaient sur la tête pour le réveiller. À Guantánamo Sami al Hajj n’a pas cessé d’être interrogé sur les liens éventuels existant entre ses employeurs et les islamistes extrémistes. Il a dit que lors de son premier interrogatoire il avait été privé de sommeil pendant plus de deux jours. (…) Il affirme avoir été soumis à toute une série de mauvais traitements et avoir été privé de soins médicaux :  des gardiens ont brisé une de ses rotules en la frappant violemment avec leurs pieds. On lui a administré des coups sur la plante des pieds. À son arrivée à Guantánamo, des chiens de l’armée ont été utilisés pour l’intimider. Il a été l’objet d’insultes racistes et ses périodes de détente ont été réduites parce qu’il était noir. Avant d’être autorisé à voir les agents de renseignement soudanais venus à Guantánamo pour l’interroger, il dit avoir été enchaîné et aspergé de gaz poivre. »

     

    Des récits comme ceux d'Abou Ghraib et de Guantánamo, il y en a pléthore. Cependant, ils ne montrent que la partie visible de l’iceberg. Il semblerait que les camps de détentions des prisonniers de guerre soient de gigantesques laboratoires humains où seraient expérimentées de nouvelles technologies visant à altérer et manipuler la conscience humaine.  Dans un article publié par le Nouvel Observateur en décembre 2004, l’avocat Jacques Debray dévoile que ses clients, Nizar Sassi et Mourad Benchellali, deux ex-détenus de Guantánamo, ont l’impression d’avoir été victimes d’expérimentations : «Nizar m’a raconté qu’ils avaient aussi été enfermés dans une pièce équipée d’une glace sans tain où il faisait extrêmement froid. Ils ont aussi raconté qu’il existait des pièces où était diffusée de la musique ultra-violente. Une fois, suite à la prise d’un de ces médicaments, il a perdu connaissance et a eu l’impression d’être resté un ou deux jours inconscient. Ils ont aussi eu des injections. Ils ne savaient pas quel genre de médicaments on leur donnait, mais tous deux ont affirmé qu’un de leurs co-détenus avait été couvert de boutons après avoir pris un de ces médicaments, et plus largement ils se demandaient s’ils n’étaient pas victimes d’expérimentations. Les fioles qui contenaient les médicaments portaient des numéros, et un médecin passait les voir pour leur demander quels effets avaient les médicaments. Ils n’ont pu voir le médecin, en dehors de ces questionnaires, qu’à une ou deux reprises, parce qu’à Guantanamo tout fonctionnait sur le système de récompense. Nizar a par exemple été contraint d’attendre un an pour voir un dentiste. Il y avait à Guantanamo un nombre impressionnant de psychiatres (…) il existe des unités réservées à ceux qui étaient devenus fous.»

     

      Les psychologues de la Behavioral Science Consultation Team (BSCT) étudient la personnalité des prisonniers pour cerner leurs faiblesses et les signaler à leurs futurs tortionnaires.

     

    Ces expériences sont conduites par un groupe de psychologues connu officiellement sous le nom de Behavioral Science Consultation Teams (BSCTs) (3). Ses méthodes ont été observées par le FBI qui fut chargé de mener l'enquête à Guantánamo à la suite des allégations propagées dans la presse internationale.  En vertu de la loi sur la liberté de l'information, l’American Civil Liberties Union (ACLU) est parvenue à obtenir des échanges d’emails du FBI sur ce sujet. Certains d’entre eux sont disponibles sur le site du Centre des droits humains de l'Université du Minnesota. Dans une note référencée FBI 2776, on peut lire : «Une fois que les détenus sont identifiés, ils deviennent des projets. (…) J’ai rencontré  le BISC (Biscuit) (NDA : jeu de mots désignant le BSCT), ce sont des personnes d’une grande ressource. Ils savent tout de chaque détenu, à qui ils parlent, qui sont les chefs, etc. (…) Nous nous battons toujours avec le DHS (NDA : Département de la sécurité intérieure) qui quotidiennement a un impact négatif sur ce que nous essayons de faire. Hier soir, j’observais une interview (…) la pièce adjacente, observable depuis la cabine de contrôle, était occupée par deux enquêteurs du DHS montrant à un détenu des films pornographiques homosexuels et utilisant un stromboscope dans la pièce.»

     

      Les prisonniers du  centre pénitencier de Guantanamo ont été soumis à de nombreux sévices physiques et psychologiques dénoncés par les organisations internationales de défense des droits de l’homme. Parmi les sévices subis par les prisonniers du camp pénitencier de Guantanamo, l’isolement mental par la privation des sens.

     

      Guantánamo et tous les autres camps situés au Moyen Orient font partie d’une seule et même réalité, non d’une fiction. Le corps militaire soutenu par le Président en personne s’autorise à bafouer les droits de l’homme au nom de la démocratie. Et bien qu’une partie des exactions révélées ces quatre dernières années ait été discrètement reconnue par le Président Bush et que celui-ci se soit très timidement excusé, sa sincérité semble difficile à croire d’autant qu’aucun haut gradé n’a été jugé coupable devant un tribunal. Les soldats américains auraient-ils agi en électrons libres ? Sans ordres ? Sans consentement de la hiérarchie ? En avril 2005, Reed Brody, conseiller juridique de Human Rights Watch déclarait : “Si les Etats-Unis veulent effacer les horreurs d’Abou Ghraib, ils doivent poursuivre ceux qui, en haut lieu, ont fermé les yeux sur les exactions ou les ont ordonnées. Ils doivent par ailleurs révéler les choses que le président a autorisées. Washington doit répudier une fois pour toutes les mauvais traitements perpétrés sur les détenus au nom de la guerre contre le terrorisme.”. Moins de deux semaines après ces conclusions, le Président Bush, sur recommandation du secrétaire de la défense Donald Rumsfeld, rétrograda Janis Karpinski qui supervisait 17 prisons américaines en Irak. Celle qui fut la générale de réserve à Abou Ghraib a nié avoir été au courant des tortures qui, selon elle, ont été autorisées par les renseignements militaires. Une information récemment confirmée par les soldats ayant écopé de plusieurs années de prison (4).

     

    En outre, en 2006,  Bush reconnaissait pour la première fois l'existence de centres de détention secrets gérés par la CIA à l'extérieur des Etats-Unis. Selon le journal Le Monde, il ne niait pas l'usage de moyens musclés pour obtenir des renseignements et les justifiait même en invoquant le nombre d'innocents que ceux-ci avaient permis de sauver.

     

    A la lecture des informations diffusées par des médias reconnus, il y a lieu de penser que l'existence d'un régime gouvernemental secret aux pratiques "parallèles" existe. Si tel est le cas, pourquoi le gouvernement américain se priverait-il de réserver le même sort aux personnes qu'il jugerait coupables de faits arbitrairement qualifiés de subversifs ? Pour les activistes, Guantanamo et Cie pourraient bien servir de modèles aux camps de la FEMA.

     

    Annihiler les libertés individuelles, une histoire de longue date

     

    Les Etats-Unis sont-il en passe de devenir une dictature militaire? La politique américaine menée dans le cadre de la lutte contre le terrorisme pourrait-elle inspirer la politique intérieure ? Depuis plus de 50 ans, le gouvernement s’atèle à supprimer les libertés individuelles sur son propre sol en promulguant régulièrement des lois d’exceptions. La première d’entre elles remonte aux années soixante. Les agitations civiles liées à la guerre du Vietnam conduisirent le Président Nixon à signer un décret présidentiel (5) qui déléguait les fonctions de planification d’urgence au département fédéral ainsi qu’aux agences fédérales, intégrant ce domaine d’action dans la sphère gouvernementale. 

     

    Ensuite, en 1976, l’administration Ford émît une loi (6) visant à investir la FEPA (Federal Emergency Preparedness Agency), prédécesseur de la FEMA, d’une mission au caractère interpellant : développer des plans visant, en situation d’urgence, à établir un contrôle gouvernemental sur les mécanismes de production et de distribution des sources d’énergie, sur les salaires, ainsi que sur les crédits et les flux financiers entre institutions. Plus inquiétant encore, l’ordre présidentiel prévoyait que les toutes les affaires traitées par le gouvernement provisoire sur le territoire soumis à la loi martiale ne puissent être révisées par le Congrès durant une période de 6 mois.  Ceci est encore d’actualité.

     

    En 1979, l’administration Carter créa la FEMA (7) en fusionnant une centaine d’agences spécialisées dans la planification d’urgence. Cet acte de centralisation permit à la nouvelle entité d’absorber d’importantes responsabilités dans le domaine de la défense civile. Depuis, le financement de la protection et de la défense civiles proviennent de la même enveloppe budgétaire. 

     

    A l’époque, Howard J. Ruff (8), un activiste archi-conservateur, soulignait déjà dans un éditorial que « (…) Seul le manque d’une crise suffisamment grave, un président déterminé, et un public suffisamment conditionné pour le permettre séparent les citoyens d’une dictature qui ne demande qu’à être établie dans une situation qui pourrait être qualifiée d’urgence nationale ». Une analyse qui fait froid dans le dos au vu de la propagande soutenue de Bush depuis 2001, et de sa détermination dans l’accomplissement de son agenda politique.

     

    S'ensuivit l’ère Reagan (1981-1989) qui fut la plus décisive dans l’avènement d’une dictature militaire. C’est en effet sous son administration que furent conçus les plans Cable Spicer I, II et III destinés à légitimer l’arrestation et la détention de dissidents politiques. Un nombre important d’actes présidentiels furent publiés durant ces années afin d’intensifier les efforts dans le renforcement de la sécurité nationale. A partir de 1981, la FEMA conjointement avec le DoD (Department of Defense) conduisirent une série d’exercices portant sur la mobilisation de civils, la gestion des situations d’urgence et le contre-terrorisme. Le Plan REX 84 en faisait partie. En 1982, la FEMA et le DoD publièrent un document intitulé « The civil/Military Alliance in Emergency Management » confirmant la transformation inéluctable de la planification d’urgence en une activité militaire et policière.

     

    Dans la foulée, un projet de décret présidentiel destiné à réviser l’ordre 11490 (9) était sur le point d’être signé. Le bureau fédéral du budget chargea l’avocat général William French Smith d’en vérifier la légalité. Confronté aux abus manifestes du décret, il rédigea une lettre au conseiller de la sécurité nationale :  « Je crois que le rôle assigné à l’Agence de gestion fédérale des secours dans le cadre du décret présidentiel révisé excède sa fonction appropriée en tant qu’agence de coordination pour la préparation des secours (…) Ce service et d’autres ont à plusieurs reprises fait part d’objections politiques et légales sérieuses au rôle de « Souveraine des secours » dévolu à la FEMA. (…) Les objections légales sont liées à l’absence d’une autorisation présidentielle ou du Congrès dans l’émission par la FEMA de directives qui visent à établir de nouvelles structures pour le gouvernement fédéral.». En d’autres termes, William French Smith dénonçait la centralisation des pouvoirs et la possibilité pour la FEMA d’établir un gouvernement provisoire alors que son rôle devait s’en tenir aux secours des citoyens en cas de catastrophe naturelle.

     

    La consolidation des pouvoirs de la FEMA culmina en 2003, lorsqu'elle se joignit à 22 autres agences fédérales, programmes et bureaux pour former le Département de Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security), un nouveau département créé à la suite des attentats du 11 septembre par l’administration Bush. L’approche gouvernementale en matière d’urgence est dorénavant parfaitement intégrée, centralisée et concentrée. Aujourd’hui, que reste-t-il à faire ? D’une part, la FEMA occupe une place charnière, les lois d’exceptions le permettant et d’autre part, elle se retrouve à l’abri des contrôles externes puisque son intégration la lie aux autres services fédéraux. En outre, la propagande a conditionné les citoyens américains et le gouvernement semble de moins en moins se soucier de l’opinion publique. Où en est-on ? Quelle est l’étape suivante ?

     

    Etat d’urgence et loi martiale, C’est pour quand ?

     

    A en croire le baromètre de la FEMA, les Etats-Unis sont perpétuellement menacés, mais à quel point l’état d’urgence est-il imminent ? Difficile à dire, mais de nombreux cas de figure sont possibles. Quoiqu’il en soit le gouvernement américain nous donne lui-même quelques indices. En 2003, le Président Bush présentait un projet de vaccination de masse : le Model State Emergency Health Powers Act, ou Model Act en abrégé, actuellement adopté par 34 états. Ce dernier rappelle étrangement le Plan Rex 84. En effet, il octroie aux gouverneurs, d’une part, les pouvoirs nécessaires à la détection de virus pandémiques et, d’autre part, les outils nécessaires à la protection des civils contre la contamination. Selon le gouvernement, étant donné les risques que posent le bioterrorisme, ce projet de loi est indispensable afin d’anticiper sérieusement et rapidement la potentialité d’une guerre bactériologique.

     

    Cependant, des associations américaines reconnues tel que le National Vaccine Information Center (NVIC) ou la Home School Legal Defense Association (HSLDA), une organisation d’avocats qui défend les droits de la famille, appellent les citoyens à la vigilance face à ce programme et soulignent son caractère anti-constitutionnel. La HSLDA dénonce les pouvoirs accordés aux gouverneurs car ceux-ci les autorisent à enregistrer les données personnelles, à contrôler les biens immobiliers, la population et enfin tous les moyens de communications. En gros, exactement les mêmes mesures répressives que celles des programmes militaires développés dans les années 80, si ce n’est que dans ce cas-ci, des pouvoirs supplémentaires apparaissent tels que la vaccination forcée des individus, l’accès à leurs données médicales, et pire, la localisation et le suivi des individus.

     

    Au sujet de la localisation, le « tracking » des individus, un article publié sur le site de livescience.com en mai 2006 annonçait que la société VeriChip Corporation avait proposé au gouvernement américain d’implanter aux immigrants une puce permettant de les localiser et de les suivre. Cette proposition faisait référence à un appel lancé par le gouvernement intitulé : « Qui est dans notre pays et pourquoi sont-ils là ? ». Cette puce permet d’enregistrer à la frontière les immigrants venus travailler aux Etats-Unis et de vérifier leur identité sur leur lieu de travail. Le « RFID » (Radio Frequency Identification tag) a la taille d’un grain de riz et peut être injecté directement dans le corps. L’implant diffuse ensuite un signal qui émet les données de l’individu. Selon VeriChip, ce type d’implant est utilisé depuis longtemps chez les animaux, notamment chez les chiens et les chats en remplacement du tatouage. Sur son site Internet, VeriChip Corporation présente son système, le VeriTrace. Celui est adapté pour le suivi des patients, la protection des enfants ainsi que pour la gestion des urgences. Les dérives d'un tel système sont évidentes. Dans le cadre du Model Act ou du plan Rex 84, ces implants seraient une atteinte à la liberté individuelle.

     

     

     

    Les implants sous-cutanés, déjà couramment utilisés pour marquer les animaux de compagnie, pourraient bientôt servir de nouveau moyen de contrôle pour le gouvernement fédéral américain.

     

      Quoiqu'il en soit, il saute aux yeux que la mise en œuvre du Model Act  nécessite des sites tels que les camps de la FEMA car il est objectivement impossible, sans infrastructures appropriées, de procéder à une vaccination de masse ou de maintenir les personnes contaminées en quarantaine. 

     

    Steve Watson, journaliste activiste pour Infowars aux côtés d’Alex Jones, concluait, à la suite du passage du cyclone Katrina, par une note apocalyptique : « Pendant des années, nous avons mis en garde les gens contre la mise en place d’un état police, nous les avons averti que la Loi Martiale deviendrait la norme, que les lois anciennes, droits et libertés seraient remplacés par des mécanismes répressifs de contrôle. (…) Pendant des années, les gens ont réfuté l’évidence ou prétexté qu’elle était destinée à autre chose, ou encore l’ont simplement refusée. Maintenant nous vous avertissons que tout cela est en train de se passer. A la suite des catastrophes naturelles récentes, des précédents dangereux ont été mis en place. Nous avons été contraints de constater comment, en temps de crise, nous devons nous soumettre et suivre les ordres des Commandants fédéraux, peu importe s’ils dénigrent les droits humains de base ou non. Que ce soit un coup d’état, une attaque terroriste, un accident ou une catastrophe naturelle, cela importe peu, le résultat sera le même. Nous sommes seulement à un événement près de la Loi Martiale, n’importe quel événement. ».

     

    Ces 60 dernières années ont été déterminantes pour l’avènement d’une dictature militaire. De nombreuses lois d’exceptions ont été mises en place permettant d’une part, de renforcer l’intervention policière et , d’autre part, d’affaiblir des libertés civiles essentielles. Les Américains sont, jour après jour, assommés par une propagande fondée sur la peur de l’autre et du reste du monde. Le sentiment d’insécurité les poussent à tolérer les dérives de son gouvernement et à inconsciemment lui permettre d’instaurer lentement, mais sûrement des mécanismes de contrôle à l’intérieur du pays. Les programmes militaires tels que ceux développés depuis l’ère Reagan ont permis de transformer la protection civile en défense civile. En d’autres termes, le gouvernement semble avoir la ferme intention de protéger le pays contre lui-même puisqu' aujourd’hui s’opposer n’est plus un devoir démocratique, mais un acte subversif. Au risque de se répéter, ce sont généralement les dictateurs qui emprisonnent leurs opposants. En jouant sur le concept de la gestion des urgences et sur la notion de continuité du gouvernement en cas de menace interne ou externe, l'Etat fédéral est parvenu, au terme d'une stratégie de longue durée, à faire croire à la population que son bien-être passait avant tout par le maintien du pouvoir en place.

     

    Kali

     

     

     

      Sources
    1- L’auteur et la date de tournage de cette vidéo sont inconnus. Il semblerait que ce film soit à l’origine un documentaire intitulé Shocker diffusé à la télévision, aux Etats-Unis, dans les années ’90.

     

    2- article disponible ien français 

     

    3- Equipe consultative des sciences du comportement

     

     

     

    6- EO 11921

     

    7- EO 12148

     

    8- Source : The Rise of the National Security State : FEMA and the NSC de Diana Reynolds, politologue (www.publiceye.org/libery/fema/Fema_1.html)

    9- Pour rappel, ce décret fut déclaré par le Président Nixon en 1969. Il assigne les fonctions de préparation à l’urgence aux départements et agences fédérales.


    http://karmapolis.be/pipeline/fema_secrets.html


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